Mon premier cul, ma première salope ! (suite)

Pour rappel, il était 3/4h du matin, pleine nuit noir sur les bords de marne, je rentrais de soirée quand j'eu beaucoup de chance.

La vue de ce spectacle suffit à déclencher une érection sans précédent en plus de m'inviter à m'avancer encore un peu. Je me rapprochais donc et cette fois il n'y avait plus de doute, la jolie salope m'avait repéré et n'attendait plus que je vienne à son contact. Elle se redressa et s'assit sur le banc, en laissant tomber son bas en dentelle sur ces chevilles. Les fesses au bord du banc, elle laissait son clito pendouiller en me fixant. 

Arrivé à sa hauteur, l'échange vu très bref. 

"Il est tard, je pensais pas croiser quelqu'un" me dit elle d'une voix douce, 

"Moins non plus, encore moins tomber sur ce genre de surprise" 

Pas de réponse... Elle était déjà entrain d'avancer sa main vers mon paquet pour le caresser par dessus mon pantalon. Le frottement de sa main à travers le textile commença à faire son effet et ma mi-molle (déjà !) augmenta encore de volume. Elle intensifait son massage sur mon sexe. Je la regardais faire, mille émotion traversant mon esprit : excitation, envie, surprise, peur d'être vu, decouverte, curiosité et j'en passe. Je la mattais de haut. Un joli visage fin mais finalement assez masculin, la quarantaine passée, elle semblait maquillée très légèrement et portait une perruque ondulée châtain. 

À moitié dans mes pensées malgré le plaisir qui se faisait de plus en plus présent (et pressant), elle entrepris de sortir ma tige de sa prison. Le morceau gicla de mon sous-vet pour se retrouver coller à son visage. Elle attrapa ma bonne queue veinée d'un main puis se mis à la frotter contre sa gueule de petite pute tout en reniflant assez fort. Elle prenait littéralement un shoot de bite comme une veille putain accroc. 

Toujours sans dire un mot, elle sorti sa langue et longea une première fois ma verge devenue bien rigide malgré mon alcoolémie avancée. Puis d'un coup de langue, elle passa à un véritable balet, un nettoyage de mon branquemart sur toute sa longueur. Je me souviens de cette sensation, elle salivait énormément. La chaude humidité de sa bave de cochonne sur ma queue, combinée à la fraîcheur du vent nocturne, me fit lâcher presque malgré moi un râle de plaisir suivi d'un : "Putain tu fais sa bien c'est grave !"

"J'adore ça, je suis faite pour ça" dit elle en me regardant fixement.....

• 29 Sep., 2023
• KiffTrav93
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