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Première exhib avec ma lope 2
Re mes coquines et coquins,
Tout d'abord MERCI pour vos réactions notées. Je ne vous cache pas cependant que j'adorerais également vous lire, voir vos pensées cochonnes en commentaire en réaction à ma "biographie sexuelle". Alors n'hésitez pas à mettre des coms, je me ferai un plaisir d'y répondre et d'échanger avec vous !
Bref- si vous avez suivi l'épisode 1 de cette exhib nocturne - vous vous rappelez que j'entamais doucement mais sûrement la baise de sa boîte à bites (de quinca en chaleur) contre la porte grillagée de sa résidence.
4h passée. Moi excité comme un chien à la vue de cette catin trempée, je m'enfoncais toujours plus profondément dans sa grotte en l'écrasant contre la porte. Puis je le poussais contre le métal et plus ce vieux PD poussait en retour avec envie : son boule s'écrasa contre ma tige jusqu'à ce que mon bas ventre et mes couilles pleines viennent se coller à sa peau lisse. En parlant de police, nous étions tellement en plein trip sexuel que nous n'y pensions même pas ! A l'instant même où je senti mon gland gonflée de désir cogner le fond de son garage à queue, il se lâcha totalement dans un râle de jouissance et son sphincter se dilata sur mon beau diamètre.
"T'es bien au fond, tu me transperce comme la pute que je suis ! Dans la rue putain ! Tu vas m'enculer jusqu'à l'orgasme dans la rue et je sais que tu adores ça sale pervers !" dit-il le souffle court.
Je ne répondis pas verbalement, je préférais lui montrer mon plaisir en lui envoyant un grand aller-retour d'un coup sec dans son trou de balle, avec toute ma fougue (et bien aidé par mon alcoolémie) ! Puis le ballet de salopes commença réellement !
Je lui bourrinai l'arrière train en exhib totale, je l'ouvrai en deux, je lui massais vigoureusement les parois de sa boîte à merde en grognant comme un animal. A chaque coup de rein, un rale de plaisir de sa part faisait écho à mes réactions de mâle en plein rut ! Aller-retour, aller-retour, je le pilonnais de longues minutes contre la porte, ma bite turgescente glissant desormais facilement dans sa chatte dilatée. Chaque coup de braquemart était plus puissant que le précédent et je sentais desormais sa rondelle de chiennasse palpiter, enserrant de plus en plus ma barre de chair comme pour mieux la sentir. Mon sexe était graissée à ma salive mélangée à sa mouillasse de gouine ! Je me sentais partir et me dit que c'était le bon moment pour me retirer afin de matter l'étendu de son élargissement anal.
"Cambre et ouvre tes fesses que je regarde ta rosette de veille pute à foutre !" lui ordonnais-je de manière autoritaire. Je pris du recul : quel spectacle de voir sa cuve restée ouverte après mon retrait !
A suivre, si vous êtes sages (et que vous en voulez encore)
- 11 Nov., 2023
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Merci
Un plaisir de te lire.