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Première exhib avec ma lope 4 (fin)
Bonsoir mes p'tites cochonnes, bonsoir mes gros coquins !
Si tu n'as pas lu le début de mon témoignage réel et vécu, je t'invite à le faire car commencer par la fin c'est jamais le plus agréable tu ne trouves pas ? Si tu as déjà tout lu, je te remercie et n'hésite pas à me dire ce que t'en pense. Et si tu as tout lu et qu'en plus nous avons échangé ensemble, un plus gros MERCI encore pour ton retour car ça m'invite à continuer à vous raconter ma vie sexuelle (vous êtes plusieurs dans ce cas et ça fait chaud au c...oeur).
Pour nous remettre dans le bain, ce que je raconte ici est un des nombreux plans insolites que j'ai pu faire avec une veille lope à micro penis, la cinquaine passée, qui s'est totalement offerte à mes désirs et fantasmes pendant de longues années. Et le texte qui va suivre est la fin de ce plan exhib débuté dehors dans la rue contre le portail grillagé de sa résidence, continué rapidement dans l'allée et terminé dans le hall vitré de l'immeuble devant les boîtes aux lettres (je vous ai mis la photo du hall où tout s'est terminé dans le foutre) !
Tous ces noms de voisins sur les différentes boîtes aux lettres me rappelait l'incrédulité de cette baise, pas moins d'une cinquantaine de personnes habitaient le bâtiment. Cela signifiait 2 choses : qu'avec autant d'habitants, n'importe qui pouvait surgir et nous surprendre mais également qu'autant de gens allaient circuler dans ce hall qui puait la baise perverse sans se douter une seconde que leur poufiasse de voisin en avait pris plein le fion ici même, quelques instants avant leur passage ! Et cette pensée ne faisait que renforcer mon excitation déjà à son paroxysme ! Ce surplus de plaisir gonfla encore un peu plus ma queue et me rapprocha de l'orgasme juteux et abondant qui allait suivre. Plus de doute désormais, j'allais le remplir, le souiller, le féconder de mon épais foutre chaud !
"PUTAIN DE PÉDALE À SPERME, TU VAS LA PRENDRE JUSQU'À RAS BORD MA DOSE DE SPERME JE TE LE DIS ! JE SAIS QUE TU N'ATTENDS QUE ÇA CAR TU ES UNE VÉRITABLE GARCE PERVERSE ET SANS TABOU. MAIS POUR L'AVOIR, IL VA FALLOIR LE RECLAMER COMME UNE POURRITURE, ME SUPPLIER DE TE FAIRE DES GOSSES GROSSE PUTAIN !"
Je ne me contrôlais plus, je lachais les chevaux et pour rester dans le vocabulaire équestre on peut dire que je le labourais plus violent qu'un champs de course hippique. Grand coup de rein, mes couilles qui claque, sa croupe animal qui vient se coller à mon bassin. Retrait, puis encore un coup violent, sauvage, bestial jusqu'à taper tout au fond de sa chatte anale. Et plus je tapais au fond, plus il criait son plaisir. Et plus je l'entendais hurler sous mes assauts de queu-tard (c'était rien de le dire vu l'heure avancée - déjà 4h30 passées), plus mon orgasme se faisait pressant !
"Allez mon mâle : REMPLI MOI, INNONDE MES ENTRAILLES" m'implora-t-il, ne pouvant sûrement plus supporter les frottements brutaux !
Ses dernières paroles suffirent à m'achever. Je senti une sensation de brûlure venir de mon scrotum, venir se localiser dans mes bourses, remonter comme un éclair le long de mon vit turgescent, piquer mon bout de gland puis L'EXPLOSION. Un doux mélange entre plaisir pur & intense et douleur libératrice. Un jet, deux jets, ma queue ne s'arrêtait plus de vibrer, je me déversais en lui, je crachais mon foutre et ma joie dans sa chatte crasseuse, je lachais littéralement prise. Quel orgasme, quel séisme en moi. Nous deux dans ce hall vibrant au rythme des pulsations sexuelles. Je me vidais tellement et avec une telle sensation que j'avais vraiment l'impression de pisser mon jus de couille comme si j'étais devant un urinoir... Le flot se calma, nos respirations se firent moins saccadées... J'avais les jambes coupées et il me fut bien difficile de me relever de ma position agenouillée. J'étais vide, épuisé, mais heureux. Heureux du plaisir pris, heureux de l'insolite qui s'était produit cette nuit, heureux de l'avoir rendu aussi chienne que possible.
Il se releva doulousement, me remercia le souffle court, se tourna vers sa porte d'immeuble. J'allais partir. Un dernier coup d'œil vers son cul encore nu, je décelais même un filet de sperme humide glisser le long de sa cuisse : QUELLE NUIT, QUELLE EXPÉRIENCE ! MERCI, JE M'EN SOUVIENDRAI !
(la preuve, même si longtemps après je me rappelle presque de chaque seconde comme si c'était hier !)
Bisous mes chéri.e.s et à bientôt pour d'autres tranches de ma vie.
- 16 Nov., 2023
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Ce fut "long" à finir mais je voulais vraiment ne rien rater et raconter l'entièreté de ce plan unique. Je l'ai vécu non pas comme un aboutissement (loin de là, très loin même) mais comme une ouverture vers un nouveau monde de plaisir. Ce plan m'a fait basculer, m'a montré la voie, m'a libéré et fait comprendre que le CUL C'EST LA VIE
Superbe récit depuis le début.
hoooo tu nous fait encore attendre faut lacher la sauce !!!!