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Un plan à 3 plus qu'imprévu (ou pas !) (intro)

Bonsoir lecteurs et lectrices, coquins et coquine,

Puisque mes tranches de vie (de baises plutôt) vous plaisent, et que certains m'envoient même des gentils encouragements à continuer (merci à vous ! <3), je vais continuer à témoigner de mes expériences vécues. Sûrement que ce texte est le dernier témoignage avec ma putain quinqua régulière, ensuite il sera temps de vous raconter des plans avec des d'autres partenaires. Mais ce plan (comme les autre déjà écrit) m'a particulièrement marqué car c'était - d'une part - mon premier trio et - d'autre part - j'ai "longtemps" cru que ce trio était le fruit du hasard et de l'inattendu (j'apprendrais un peu plus tard que PAS DU TOUT ^^).

Tout commença, comme souvent, par une branlette, seul, dans ma chambre de la grande maison familiale en me baladant sur divers sites de cul hétéro mais pas que (à l'époque je fréquentais beaucoup Xtube pour ceux qui connaissent car de nombreux amateurs y postaient leurs ébats pervers). Bref, la bite bien bandée et l'esprit bien chauffé en ce dimanche après-midi, je n'avais pas grand chose d'autre de prévu que de me faire du bien et décida donc d'entreprendre une masturbation bien plus longue qu'à l'accoutumée. Après pas loin d'une demi-heure à me polir la verge devenue rouge par mes aller-retour, je me dis qu'il était dommage de rater cette opportunité !

J'étais seul, ma meuf de l'époque et moi n'avions pas prévu de se voir, pas de parents pour me questionner ni de potes pour squatter à l'improviste. En résumé : j'avais mon aprem dispo en toute discrétion. L'excitation déjà bien haute, le sang bien plus présent dans mon braquemart que dans mon cerveau, je me surpris à envoyer un sms à ma putain de schagasse préférée :

"Hello pédale (c'était ainsi qu'il souhaitait que je commence mes sms), j'ai la bite en feu, elle réclame un trou, t'es intérêt à être dispo !"

Je ne me faisais que peu d'illusion, 99% du temps nous baisions la nuit, je ne m'imaginais pas qu'il puisse répondre et j'imaginais encore moins la suite. Mon téléphone vibra...

"Salut ma Queue, si ta queue est brûlante, je connais un cul qui a besoin qu'on y foute le feu. Viens !"

Mon poul s'accéléra devant la rapidité de sa réponse. Je remontai mon jog en vitesse, dévala les escaliers, ma paire de Timberland aux pieds, j'étais déjà dans la rue en route vers sa chatte. Je vous passe le chemin, j'étais devant son portail (le fameux - voir l'histoire d'avant), un nouveau sms vers cette chiennasse, j'avançais vers son hall. 1 min d'attente, 1 minute à me masser la verge à travers le textile dans l'entrée de l'immeuble. L'ascenseur s'ouvrit, il sorti avec un très large sourire de salope sur son visage, ouvri la deuxième porte, se retourna pour remonter dans l'ascenseur sans un mot. Je lui emboitais le pas. 2 gros chiens dans un tout petit ascenseur, je ne vous fais pas de dessins. Les hostilités commencèrent direct : il se cambra en avant en s'appuyant contre la barre, souleva son haut ce qui me fait découvrir qu'il avait déjà le futal un peu baissé laissant voir son bourelet de fesses lisses qui dépassait de son jean.

"Au boulot mon chien, prépare moi ta chienne pour l'accouplement qui va suivre !" me balança-t-il en pleine tête.

Alors ni une ni deux, je tirais d'un coup sec pour libérer son cul de veille lope à jus de l'étreinte de son jean. Et je me jeta littéralement par terre, à genoux, à hauteur de sa fente. Une main sur chaque globe fessier, j'ouvrais son cul du mieux possible pour me dégager le passage vers sa rosette d'amour. Un odeur de cul, digne d'une vieille cramouille en manque, monta direct à mes narines ce qui fini de me convaincre : j'étais clairement AU BON ENDROIT AU BON MOMENT SANS AUCUN DOUTE. Et ma bite dure et redressée emprisonnée dans mon jogging ne le niait pas (au contraire !). J'allais le lécher d'un immense coup de langue quand ce fumet me fit tourner la tête. J'en voulais plus, je voulais m'enivrer de cette senteur de trou anal, ne respirer plus que ça et rien d'autre. Donc au lieu d'avancer langue la première, je colla mon pif sur sa rondelle et renifla à fond, à m'en cramer les naseaux dans un bruit fort de degueulasse.

Déjà pas mal pour une intro, plutôt là pour planter le décor que rentrer dans le vif du sujet je l'avoue. Ça peut vous ennuyer, je ne sais pas. Dites-moi !

Bisous !

Ps: photo non-contractuelle, j'ai pas pris de photo de ce plan malheureusement...