|
Un plan à 3 plus qu'imprévu (ou pas !) 3
Re,
J'enchaîne direct sur la suite, cela évitera d'attendre, ce qui ravira les impatientes !
Résumé : il s'agit d'un plan "banal" à deux, un week-end après-midi avec ma vieille lope régulière de plus de 50 ans qui s'est transformé en plan à 3 sans que je m'y attendent. Après l'avoir reniffler et lécher dans l'ascenseur de son immeuble, nous voilà dans l'entrée de son appartement, prêts à baiser comme des camés en manque de leur dose de sexe !
Je baissais mon jog rapidement, crachat dans ma paume pour humidifier mon bout puis je commença à me frotter contre son lisse et désirable anus. Puis je me mis à forcer l'entrée de sa grotte pendant qu'il reculait vers moi dans le même temps. Mon gland fut aspiré d'un coup sec et il ne broncha pas, à peine lâcha-a-t-il un soupir de soulagement. Il en avait besoin, c'était vital pour lui de se faire combler le trou par un penis de mâle : dans ces moments-là il ne vivait que pour la bite (et encore plus pour la bite de jeune hétéro en chaleur comme moi). Puis tout allat finalement très vite. Je n'eus clairement même pas le temps, ni le loisir, de venir vers lui qu'il donna un enorme coup de fesses vers moi. IL VOULAIT SA DOSE, IL VOULAIT ME SENTIR, IL VOULAIT SE DÉCHIRER LA CHATTE ANALE SANS AUCUNE RETENUE. Mes couilles tapèrent violemment et bruyamment contre ses cuisses imberbes de catin. Je sentis comme une butée au fond de sa boîte anale, je tapais littéralement au fond comme rarement.
"AGGRIPE TA PUTE PAR LE CUL ET TAPE DEDANS, NE TE RETIENS PAS, J'AI BESOIN D'AVOIR LA CHATTE EN FEU"
Il gueulait comme une gueunon ! J'avais fait des plans avec lui mais je l'avais rarement vu dans cette état de manque sexuel. Mais cela me plaisait et continuait de me gonfler encore plus de plaisirs pervers. Je pris fermement sa croupe de part et d'autre et je me mis à faire un rodéo, lui limant les parois de toute ma fougue ! Je me massais la bite avec son intérieur de lopesa tout en le fessant et l'insultant comme j'aime : traînée, chienne à bite, grosse merde à sperme, sac à foutre, bouffonne bonne qu'à se faire engrosser, pédale à queue, papy pervers, connasse à jus, etc. Tout y passait, je lui criais tout ce que mon imaginaire pervers pouvait sortir de ma tête en frappant de plus en plus fort sur son croupion qui commençait à rougir. Il criait, il se tordait, il s'efforçait de rester à 4 pattes en position de chien soumis mais il avait du mal à tenir sous mes assauts de queuetard ! J'étais pas si loin déjà de l'explosion tellement nous y allions fort et rapidement. Je voulais ralentir mais il ne semblait pas l'entendre de cette oreille vu avait la force et l'entrain qu'il mettait pour me serrer et me pomper le dard avec son gros trou de cul !
"Tu vas cracher, je vais te faire cracher ! Oh oui, je vais tout te faire cracher dans ma cuve pour me féconder mon sextoy préféré", par ces mots cela confirmait ce que je sentais, il voulait effectivement que je jouisse dès maintenant en lui (et je compris ensuite pourquoi il était si pressé que je le remplisse, il avait convenu un plan tassage au jus avec le mec qui allait arriver, il lui avait promis de patauger dans mon foutre - mais ça il ne me l'expliqua que bien plus tard !).
Et soudain, alors que j'étais à quelque aller-retour de lacher la sauce, je fus surpris par l'interphone qui sonna. Il sursauta également, se retira vite de ma queue et répondis le souffle court.
"Oui, oui je t'ouvre, tu ne t'etonneras pas en arrivant hein !" dit-il au combiné.
"Il se passe quoi ?" lui demandais-je, la queue laissée à l'air libre, orpheline de son cul, luisante de sa mouille !
"Un pote qui passe me rendre un truc, il est pas farouche t'inquiète, tu me rester la bite à l'air et aller te détendre sur le canap du salon si tu veux".
Je m'executais. Dans ma tête c'était un mélange de plein de chose. Premièrement de la frustration (j'étais vraiment à deux doigts d'ejaculer je vous le rappelle), deuxièmement une forte de "peur" (sûrement la peur de l'inconnu et puis qu'allait penser son pote et qui etait-ce ?) et enfin une petite excitation (et si son pote comprenait vite ce que nous etions en train de faire et qu'il souhaitait participer - ça serait mon premier plan à plusieurs !).
Toc toc toc, on frappa à la porte. J'étais désormais assis dans le canap mais j'avais une vue sur l'entrée. Et à ma grande surprise, il ouvrit la porte sans prendre le temps de se refroquer : il allait donc se présenter à ce mec à poil avec sa micro nouille pendante ! L'excitation pris le pas sur le doute dans mon esprit... Et maintenant QUOI ? Quelle serait la suite de mon après-midi ?!
La suite arrive très vite justement (sûrement plus tard dans la soirée), car finalement tout l'intérêt de vous raconter ce plan c'est pour cette fameuse suite, à trois !
- 23 Nov., 2023
- 348 vues
- Pas de commentaires
