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Un plan à 3 plus qu'imprévu (ou pas !) 5
Bon dimanches à tous les coquins et les coquines de ce merveilleux site, que celui-ci soit rempli de plaisirs (phalliques et anal). De mon côté je vais en profiter pour écrire la suite de ce plan à 2 devenu plan à 3 sans même que je n'ai eu le temps d'en prendre conscience !
Nous étions donc tous les 3 sur le canapé du salon (enfin pas tout à fait, car la veille lope était à genoux à même le tapis à s'occuper de nous assis comme des pachas) :
- MOI le p'tit mâle, à peine la vingtaine, j'étais devenu VOYEUR - je me branlais donc vigoureusement la queue bien raide en mattant comme un cochon ma vieille catin en train de se faire bourrer la bouche par ce quarantenaire à belle bite,
- FAB le blond de quarante, arrivé à l'improviste, semblait très dirigiste et dominateur - en plus de s'être imposé sans rien demandé dans notre partie de sexe à deux, il me faisait forte impression tant il souillait la putain sans pitié, il appuyait la tête de la vieille chienne de toutes ses forces pour lui faire avaler chaque centimètres de sa longue tige qui à l'étouffer totalement,
- la LOPE À JUS, véritable serpillière à queue, proche de la soixantaine, était à genoux à servir de trou à FAB - elle était à sa place, remplissant son rôle sans se plaindre, se faisant littéralement casser la mâchoire par le mâle en rut qui lui baisait sa petite bouche humide comme si c'était une chatte dilatée - Elle s'etouffait baveusement comme une chienne sur le braquemart du blondinet, tout en me regardant comme pour me dire "regardes ce qu'il me met, regarde comme il me baise sans pitié devant toi, j'espère que tu aimes me voir ainsi".
Fab y allait de plus en plus fort, avec une violence sexuelle rare, il savait ce que l'autre connasse voulait et il lui donnait sans retenue. Sa queue était degoulinante de salive et à fois qu'il l'enfoncait jusqu'aux couilles, la pute avait un haut de cœur bruyant qui ajoutait encore plus de bave à celle déjà présente ! Je regardai le spectacle avec délectation, mais moi aussi je voulais participer à cette humiliation sexuelle.
Je quitta donc le canapé pour me placer derrière la vieille suceuse et j'entrepris d'aider Fab dans son travail de démolition en venant presser à deux mains la putain contre le bas ventre du mâle. On ne voyait plus 1 cm de queue dehors, tout était désormais au chaud dans la gorge crasseuse de la pétasse et à entendre les râles de Fab, cela lui plaisait énormément. Je relâcha la pression, la salope recrachat la verge ainsi qu'un litre de bave (je pense qu'elle avait vomi de la bile également tellement le liquide était abondant), et Fab satisfait nous dit :
"Intéressant tout ça mais on va passer aux choses serieuses car je suis sur que cette belle TRUIE en chaleur à la chatte au moins aussi humide que sa gorge et qu'elle a grand besoin de se faire monter comme une jument par nos bites d'étalons ! À toi l'honneur le jeune, je vais la tenir fesses écartées pour que tu l'encules jusqu'aux couilles ! Cette pédale ne mérite que ça !"
Il etait si cru dans ses mots et si affirmé également dans ses actes et ses attitudes, cela m'impressionnait énormément. Il dirigeait désormais la sessions d'une main de maître. Et si la pute à foutre était son jouet à plaisir, je crois que je l'étais aussi quelque part. Il se servait de ma bite, via ses ordres secs, pour faire saillir sa vieille chiennasse.
Il claqua le cul de la lope, la plaça bien à 4 pattes sur le tapis, s'installa lui devant (la tête de la lope écrasée contre sa bite), choppa les 2 fesses lisses de l'autre conne et les écarta du plus qu'il pu pour me présenter sa chatte anale bien lisse et désirable.
"ALLEZ BAISE CE TROU !" cria-t-il avec hargne. "IL EST A NOUS !"
Avant que je mette mon gland gorgée de plaisir devant la fente striée, Fab cracha un bon mollard sans sa main et tartina le trou chaud du quinqua-pute. Mon bout rouge glissa dans cet enduit gluant, Fab sans me demander poussa dessus avec son gros pouce pour le faire entrer d'un coup sec. La pute cria mais Fab s'en moqua, m'invitant de suite à pousser plus fort et plus loin. Un nouveau cri puis un gémissement. Le garage à queue de notre poufiasse s'ouvrit d'un seul coup et aspira ma chaire phallique. Nouveau gémissement mais cette fois Fab le fit taire en lui collant sa queue toujours bien bandée dans le gosier !
- 26 Nov., 2023
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