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Un plan à 3 plus qu'imprévu (ou pas !) 6
Hello à tous et toutes, coquins, cochonnes et autres belles salopes d'ici !
Poursuite mais hélas manque de temps. J'essaye de continuer rapidement pour arriver à la fin (sûrement 1 partie de +). Désolé pour la gêne (anale) occasionnée. Et bonne lecture-branlette.
Pour mémoire, ou pour itroduire la situation si vous arrivez ici par hasard : parti pour un plan à 2 avec une vieille mâle-lope régulière (de 35 ans mon aîné !), je me suis retrouvé à la sauter en trio avec un Maître-domi bourrin à souhait qui m'a dirigé comme son gode vivant pour déboiter l'humide cochonne !
Je profitais de chaque instant car l'insolite, ajouté à la rareté de ce moment (premier plan à 3, "imprévu"), décuplait très fortement mon plaisir, et ma bestialité, d'être ainsi dirigé pour baiser ma salope ridée préférée. Les paroles de Fab, la vue de l'autre pute en train de se souiller de bavouille sur sa belle queue veineuse, mes sensations dans son cul palpitant, le fait de m'exhiber pendant que je foutrais un trou anal tout en étant voyeur d'une fellation goulue, les râles de chacun, les odeurs de sexe brut qui commençaient à me chatouiller les naseaux, le corps perlant des premières gouttes de sueurs : tout était réuni pour me faire perdre la tête !
"Alors le jeunot : tu kiff ce que tu vis ?! Je le vois à ton visage béat, profite mais oublie pas DE LUI CASSER LE VAGIN, elle n'attend et ne comprend que ça cette CATINE ! Regarde, je t'imprime le rythme !"
Joignant le geste à la parole, il choppa des deux mains la pédale-à-4-patt' par les hanches et se mit effectivement à lui forcer l'enculade à une vitesse infernale, faisant glisser son tunnel moite sur toute ma longueur ! J'étais au bord, déjà, de l'explosion, proche de féconder ma putain-chienne qui s'appliquait toujours à avaler le dominant Fab. À peines quelques minutes d'aller-retour. Mais la situation et le fait de ne rien contrôler (n'étant finalement qu'une poupée-gode pour Fabien) dépassait mes capacités de self-controle.
"Faut qu'on échange les rôles, je vais cracher putain..." dis-je doucement, dents serrées, comme par peur de paraître "faible", renvoyer une image d'un puceau inexpérimenté au yeux de l'autre bourrin... Mais, comme rappelé, j'étais à peine plus libre de mes agissements que l'autre traitée en train de se râper les genoux sur la moquette de son salon.
"HORS DE QUESTION QUE TU TE RETIRES !!! Pourquoi tu crois que je t'ai fait passer en premier ?! Je veux tasser cette cuve à foutre en m'aidant de ton sperme de jeune comme lubrifiant naturel. Alors vas-y, n'ai pas de barrière, lâche toi dans ce bol à sperme !" me balança de manière directive le chef des opérations anales.
Je crois qu'il n'eu même pas le temps de finir de donner son ordre (du souvenirs que j'en ai) : je me relâchais instantanément, sans pitié, à grands coups de reins violents dans le garage à bites de ma vieillerie ! Mes muscles se raidirent nets, un picotement traversa mes burnes, remonta la base de ma tige tout en contractant mon scrotum PUIS LE DÉLUGE !!!! OH PUTAIIIN quel orgasme, l'électricité perverses me parcouru le corps, le cul et la nouille bandée ! Une rasade, puis un autre, je sentais chaque millilitre chauds sortir de mon bout devenu ultra sensible. Et encore un jet au fond !
"JE TE REMPLIIII PUTAIN DE CATIN !"
"OUIIIIII, innonde ma chatte anale" répondit la putasse en enlevant la queue grasse de sa bouche, tout en me tendant toujours plus sa croupe dilatée.
Les dernières contractions, le dernier spasme, le dernier gémissement timide couplé à mon souffle court, je restais au fond un petit peu (bas ventre collé contre son boule), débandant doucement et libérant le "knot" ejaculatoire !
"Retires toi tant que c'est chaud, à mon tour de m'amuser pendant que tu nous mattes, ou que tu vas te nettoyer, je m'en fous" repris le Salaud blond et son braquemart bien dimensionné.
Je recula, me retira donc pour laisser la place dans ce puits noir, béant et poisseux, flasque et meurtri de mon (court mais intense) passage. La Pétasse-Anale ne put se retenir et expulsa un pet de fouf' très gras et bruyant ! FFFPPPRRRRROUUT
LA FENTE OUVERTE se dilata un peu plus et une odeur surprenante me monta en pleine face pendant que je me relevais. Un mélange fumant de bave, de mon jus de couilles, de transpi mais aussi (et surtout) de pet foireux (d'ailleurs ce n'était pas que du sperme qui luisait sur ma mi-molle...). L'autre Domi allait pas demander son reste ! Loin de là ! Et ce gaz fini totalement de le faire vriller...
Bientôt la fin durant laquelle j'ai été voyeur-assistant même si l'excitation était retombée, je suis tout de même resté pour l'expérience. Et pour apprendre, comme le titre l'indique, que ce plan était en fait monter de toute pièce. Et OUI ! Naïf j'étais...
- 6 Dec., 2023
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