Un plan à 3 plus qu'imprévu (ou pas !) 7 (fin)

Bonsoir mes lecteurs/lectrices perverses, une pensée spéciale pour celles qui suivent assidûment ce (long) témoignage, qui a marqué ma mémoire - tant par son côté "insolite" que par sa surprenante imprédictibilité ! Pour vous les cochonnes habituées qui s'excitent : svp dites-moi en com ce qui vous a fait kiffer, ce qui vous a émoustillé le clito et la fente ? J'y répondrai avec une immense joie sexuelle !

C'est le dernier morceau : la fin d'un plan à 2 devenu plan à 3, lui même devenu plan exhib/voyeur entre un dominant (Fab), une putaine périmée (ma lope régulière) et une bite sur pattes à leur service (moi) ! Pour rappel, je venais, à la demande du Mâle, d'asperger les entrailles anales de la pute qui nous servait de vides-couilles de salon. Puis après m'être retiré prestement (encore sur les ordres de Fab qui voulait désormais tasser le trou crasseux pour y mélanger mon jus et le sien), la chiennasse à bout n'avait pu réussir à se contenir et avait lâcher une flatulence vaginale particulièrement odorante à m'en faire tourner la tête de plaisir. J'avais pris une grande bouffer avant de me poser dans le canapé pour matter l'autre chien en rut commencer ses assauts. Et malgré ma bite devenue molle, et la tension sexuelle redescendue, j'ai continué à matter le spectacle brute offert à ma vue.

A peine ma verge sortie du trou d'balle endolori que je venais de féconder, Fab ne laissa surtout pas la quinqua-lope reprendre son souffle et ses esprits. Il retira son biberon à la pouff baveuse et se positionna directement derrière sans lui demander son avis en lui écartelant ses 2 globes fessiers. Le Domo-Mâle colla alors son BIG gland-champignon sur l'oeillet cramoisi et complètement dilatée de la pédalop', toujours disponible en levrette sur la moquette. Et soudain, sans prévenir, il envoya un énorme (!) coup de bassin vers l'avant comme s'il voulait se servir de son braquemart comme d'une matraque télescopique. Ce premier coup fut d'une violence ! Je vis de suite dans le regard de Fab que 1/ il n'allait pas forcément durer longtemps, 2/ il n'allait faire aucun cadeau à cette fente déjà bien cassée et 3/ il ne s'intéresserait qu'à son plaisir rabaissant l'autre tchoin à sa fonction première : être un réceptacle à foutre POINT BARRE ! Il commença un va-et-vient d'une puissance sexuel rare (note : même encore aujourd'hui alors que j'en ai vu des baises j'ai vraiment rarement assisté à une telle déferlante). 

"Voilà comment on matraque un trou à bite ! Sans ménagement, sans demander ! Reviens là SALE PUTE, POURQUOI TU FUIS !" lui balança-t-il avec férocité. 

En effet, la chienne sûrement à la limite du supportable pour son rectum en feu avançait et s'effondrait un peu plus à chaque charge pénienne en criant sa jouissance teintée d'une douleur orgasmique (que je devinais à sa gueule déformée et à sa mâchoire serrée). De là où j'étais je voyais tout en détails et en gros plan : la chaire du baiseur enduite désormais d'un liquide visqueux jaunâtre-marron qui faisait son office de perforation et la chatte de l'enculée qui ressortait un peu plus à chaque retour, épousant la tige qui la ramonait comme une ventouse anale ! 

"Bordel ma salope, qu'est ce que je te met cher dans ta fente de fiotte, je vais bientôt te libérer et me libérer de tout le foutre chaud qui rempli mes burnes de taureau !" puis s'adressant à moi le petit voyeur : "Allez viens me bloquer cette TRUIE, écrase lui ton zguegue tout mou sur sa gueule et pousse le vers moi. Je vais bien lui tapisser le fond de sa grotte avec ma semence". 

Ni une, ni deux, je me mis devant - ma petite bite collée sur le front du pd qui n'avait plus la force de relever la tête pour me présenter sa cavité buccale - posa mes mains sur ses épaules et poussa l'homme-objet vers la batte de son bourreau.

"Oh ouiiiiii bordel de merde, putain de grosse pute à sperme tu me vides connasse ! Regarde ce que je fais par ta faute, je te viole ton troufion avec ma bite de ch'val par ta faute sale allumeuse de merde !" s'exclama Fab-bourrin tout en tremblant.

CLAC ! Une énorme fessée s'écrasa sur la peau lisse du quinquagénaire humilié et souillé. La marque rouge apparue instantanément tandis que je relâchais ses epaules. Ma péné-lope (mais était-ce encore la mienne après ce que je venais de voir ?!) s'écroula sur le tapis, épuisée, ressortant bruyamment la queue suintante de son enculeur ! Le plan se termina aussi abruptement que la tension redescendit. L'odeur de foutre, de cul, de mâle, de prout, de sueur, voilà ce qu'il restait, en plus de la catin allongée à plat ventre nous offrant à la vue sa vulve en choux-fleur ! Fab lâcha une dernière remarque qui m'expliqua soudainement TOUT !

"C'est ce que tu voulais et que tu m'avais demandé, que je vienne te détruire et te violer devant ton petit jeune régulier HEIN GROSSE DEPRAVÉE ! Tu as eu ce que tu mérites !" conclua-t-il ! 

FIN

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Merci Claude, effectivement le final fut super et surtout super surprenant pour moi à l'époque car je pensais pas qu'ils avaient prévu le coup entre eux avant

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Super final !

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