Nouveaux membres

Une fin de stage en 69 ! (intro)

Bonsoir tout le monde, et surtout les coquinous qui suivent et apprécient (comme Eddy ou Claude ;) ) - Merci beaucoup d'ailleurs ! C'est ma manière à moi de m'exhibe en racontant quelques tranches vécus de ma vie sexuelle (plus ou moins riche, à vous d'en juger lol).
Du coup, suite à mon dernier post où je détaillais quelques plans culs qui m'ont marqué, j'ai décidé de vous raconter une fois toute particulière car 1/ improvisée dans un contexte de "boulot" 2/ totalement mais alors TOTALEMENT imprévue car rien ne me laissait penser que je pourrais avoir une aventure chaude avec ce bref collègue !

Pour remettre un peu dans le contexte : cette suce s'est déroulée au cours d'une soirée de fin de stage dans ma boîte, organisatrice de voyages linguistiques pour les vacances d'été. Nous venions de finir la saison, c'était le dernier vendredi pour les stagiaires et la fin du rush de l'été (tous les voyages étaient finis). Pour l'occasion, la boîte avait réservé le Novotel de Porte de Bagnolet et offert l'open bar.

J'étais particulièrement alcoolisé, et titubant pour aller aux toilettes, j'ai surpris un collègue en train de se faire un rail. Surpris, il m'a dit de rien dire mais que si je voulais il me payait un coup. J'ai accepté puis on s'est mis à discuter dans les chiottes et nous avons très vite parlé de cul. Il m'a dit qu'il était surpris qu'il n' y ait eu aucune histoire de cul au cours de l'été entre collègues et que l'an dernier ça avait été bien plus chauds. Il trouvait ça dommage mais.... lui il s'en fichait car IL AVAIT BAISÉ avec d'autres gens de la boîte.... 2 mecs dont un stagiaire ! J'avoue je m'y attendais pas, j'aurai jamais pensé ça vu comment il dragouillait toutes les meufs du service. Bref, par curiosité, je commençais à lui poser pas mal de question, sans lui dire que j'avais déjà ken des mecs et des travs chaudasses. Il me raconta 2-3 trucs puis s'inquiéta que les autres remarquent notre absence. Je pensais que cela s'arrêterait ici (un peu déçu d'avoir raté l'occasion d'autant que je commençais à être excité !). Dans le couloir allant à la salle, Quentin (beau blond, baraqué et métrosexuel prenant très soin de lui) marchait devant moi, ce qui me laissa tout le loisir de mater son p'tit cul serré dans son jean brillant. Juste avant d'arriver à la salle, il s'arrêta, se retourna, mis la main direct à mon paquet puis me dit droit dans les yeux "tout à l'heure, elle est à moi !". Je n'eu même pas le temps de répliquer qu'il était déjà repartir en direction de la piste de danse !

La soirée continua comme s'il ne s'était rien passé : j'enchainais les verres entre deux danses - enfin si on peut appeler de la danse car c'était cata vu mon état - tout en scrutant du coin de l'œil Quentin qui continuait son numéro de charmes auprès de la gente féminine. 1h...2h...4h la musique commença à baisser tandis que de + en + de personnes remontaient vers les chambres. Sauf Quentin ! Puis tout s'accéléra d'un coup : Quentin profita que la musique s'arrête pour foncer droit sur moi et me balancer :

"Si une suite t'intéresse, tape 2 fois à la chambre XXX (je me rappelle plus du numéro de la chambre lol on s'en fout), on va s'amuser si tu oses venir !" dit-il de manière assez directive !

Comme précédemment, il ne me laissa pas le temps de répondre et quitta la salle en direction des ascenseurs.

Mon cerveau, malgré les verres enchainés pendant des heures, réagit instantanément. Il envoya un signal à ma queue qui bondit, mon cœur se mit à battre un rythme effréné et sans comprendre pourquoi, je me mis à aller aussitôt d'un pas assuré vers les ascenseurs comme un bon pervers en rut. Quentin n'était plus là... J'appelais l'ascenseur nerveusement. BING. Une fois dedans, j'appuya pour monter dans les étages en m'assurant que les portes se referment sans personne avec moi. Je comptais bien libérer ma mi-molle et me caresser le temps d'arriver à l'étage. Je n'attendis pas que la porte se referme pour déboutonner mon pantalon et sortir ma tige. Tout en regardant mes étages, je me mis à presser vigoureusement mon sexe, tout excité à la fois par la proposition du blondinet (encore un tiens ! voir le plan d'avant) et par le "risque" que l'élévateur stop sa course à un étage face à un client de l'hôtel. BING. Les deux portes s'ouvrirent sans que j'ai pris le temps de remballer mon membre devenu un peu plus rigide. Je m'engageais prestement dans le couloir à la recherche de la chambre, la pantalon et le caleçon juste sous les couilles, ayant tout juste pris le soin de recouvrir mon attirail sexuel de mon t-shirt un peu long. Bourré comme un coin, je dû me dire à cet instant que je pourrai passer inaperçu ainsi rhabillé à la va-vite si je croisais quelqu'un : en réalité mes couilles fraichement rasées dépassaient nettement du bas de mon t-shirt, en se bringuebalant à gauche à droite, visibles par tous !