Une fin de stage en 69 ! 2
Coucou à tous, coquins, cochonnes, chiennes, lopes et autres créatures désirables présentes sur ce site ! Avant de reprendre le récit (que certains attendent de pied ferme - ils me l'ont fait comprendre en MP), je souhaitais vous souhaitez de très belles fêtes, remplies de bonheur et de plaisirs phalliques ! Et je vous souhaite plein de belles rencontres également !
Cette 2ème partie est la suite d'une histoire que j'ai vécu il y a déjà presque 10 ans, histoire particulière car se déroulant dans le cadre pro pendant une fête alcoolisée marquant la fin de mon stage de M1 (donc absolument pas dans un contexte destiné à déraper en plan baise bien baveux !). Abordé et invité par un collègue - que je pensais hétéro - et pris par l'excitation grandissante, j'ai décidé sans trop réfléchir de le rejoindre dans sa chambre (la soirée avait lieu au Novotel) pour un fin de soirée très chaude.
Je continuais donc à déambuler dans ce long couloir, couilles et bite au vent, pressé et angoissé d'arriver à hauteur de sa porte de chambre. Chaque numéro que je voyais défiler sur les portes me rapprochaient un peu plus ayant pour effet d'accélérer mes pulsations cardiaques. Je ne savais pas ce que j'allais faire une fois arriver devant la bonne chambre, les idées se bousculaient : allait-il m'ouvrir à poil prêt à se mettre à genoux pour me sucer ? ou encore tout habillé espérant un plan doux ? ou encore se foutre de ma gueule prétextant que tout ceci n'était qu'une vulgaire blague ? Je me souviens être passé par toutes les émotions jusqu'au moment où je vis le numéro doré collé sur la porte !
TOC TOC TOC. Je n'avais finalement pas hésité, quitte à être monté à moitié à poil jusqu'ici, autant aller au bout de mon idée perverse...
"J'arrive, j'arrive, j'espère que c'est qui je pense !" dit-il de l'autre côté de la cloison.
La porte s'ouvrit en grand m'offrant une vue complète sur la chambre mais personne devant moi, le coquin était planquée derrière celle-ci attendant que je rentre pour renfermé derrière moi. Je fis 2 pas à l'intérieur puis la porte claqua dans mon dos et une main froide vient me pincer vigoureusement la fesse droite. Je m'arrêtais net dans l'entrée pour le laisser me malaxer le boule !
"Je pensais pas que tu viendrais et encore moins que tu serais déjà avec le cul et la bite à l'air, prêt à l'emploi ! Ca me plait beaucoup ça !" dit-il d'une voix assurée. "Retourne toi que je puisse mater ce qui m'intéresse : ta bite de jeune stagiaire en manque !"
Demi tour sec, je me retrouvais donc nez à nez avec ce joli coquin visiblement tout aussi excité que moi à l'idée que l'on baise ensemble ce soir. Pas le temps d'ouvrir ma bouche qu'il se jeta brusquement à genoux afin de placer son doux visage à hauteur de ma tige semi-molle. Je releva puis retira rapidement mon haut faisant apparaitre l'entièreté de mes attributs sexuels : mon pubis fraichement rasé, ma tige légèrement foncée et qui commençait à se lever doucement, ainsi que mes 2 grosses burnes lisses & pendantes ! Son visage, son nez et sa bouche n'étaient plus qu'à quelques centimètres de mon paquet et je sentais le souffle haletant de mon dragueur me caresser la verge qui durcissait à vue d'œil.
Rrrrrrr Splash ! Il me crachat un bon mollard épais et collant en guise de lubrifiant, me serra les bourses d'une main, tira dessus pour approcher ma queue souillée de bave et commença à me la gober sans hésitation aucune ! Il savait ce qu'il voulait, il voulait sucer une belle bite comme une femelle affamée et il était bien heureux de m'avoir trouvé visiblement ! Une sensation chaude et humide envahit mon gland qui se décalotta au contact de ses lèvres. Puis cette douce sensation remonta, sa bouche de suceuse de teub formait un anneau glissant qui avançait & avalait mon vis durci centimètre après centimètre. Arrivé à la moitié de ma longueur, sa bouche fit demi-tour lentement tout en aspirant ma peau de bite avant de repartir de plus bel vers l'avant. La salope à genoux entama des aller-retours puissants, recouvrant ma chaire sexuelle d'un maximum de salive ! Il savait y faire le salopard et désormais que mon braquemart était bien rigide, il n'hésitait plus une seule seconde l'enfonçant toujours plus loin dans sa gorge baveuse ! Ma respiration s'accéléra et je me mis à lâcher mes premiers gémissements de plaisir.
"Tu suces putain de bien salope !" ce fut mes premiers mots depuis que j'étais entré !
Mon insulte fut pris comme un compliment - ou une invitation - à se donner encore plus sur ma bite de porc ! Il lâcha mes testicules, plaça vigoureusement ses mains sur mon cul et se mit à me tirer vers lui afin de se baiser la gueule encore plus. Il n'était plus si loin de faire disparaitre mon morceau complètement dans sa gueule, ce qui lui valu un joli haut de cœur réflexe; il retira sa bouche pour cracher le surplus de bavouille sur moi !
- 24 Dec., 2023
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Hummmm ! La suite, vite !
Superbe récit !