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Une fin de stage en 69 ! 3

Bonsoir à tous les joyeux coquins/coquines qui s'excitent ici à matter ou à lire des récits, à s'inspirer et à rencontrer à tout va pour notre plus grand plaisir SEXUEL ! J'espère que vous avez été gâtés par le Papa Noël - À mon tour de jouer le rôle du Père Noël (j'ai l'habitude j'ai déjà la grosse B.....arbe lol).

Voici donc mon modeste "cadeau", la partie 3 (et avant dernière) de mon récit sexuel qui s'est déroulé il y a presque une dizaine d'années pendant une soirée de fin de stage. Si tout me prédestinait à finir bourré (dernière soirée de stage avec open-bar), rien en revanche ne m'avait laissé penser une seule seconde que je finirai dans une chambre en 69 avec l'un des employé de 15 ans mon aîné !! Toujours est-il que j'avais répondu à son appel, que j'avais rejoins sa chambre (nous étions dans un Novotel payé par la boîte pour l'occasion) et que très vite je m'étais retrouvé la bite dressée, couverte de salive collante suite à la pipe fond de gorge que la lope trentenaire venait de démarrer !!

Donc après avoir tenté d'enfoncer ma queue - du bout de mon gland gonflé jusqu'à la base de mon pubis rasé - la suceuse (assez experte) la recracha d'un "gag reflex" bruyant et humide. Il mollarda le surplus sur ma verge (désormais dur comme du bois), essuya me branlant des deux mains puis sans un mot, juste avec la pression de ces mains sur mes hanches, me fit comprendre qu'il voulait que je pivote. Il profita de mon mouvement pour enlever son haut tâché de bave et resta à genoux pendant qu'il reprenait son souffle.

"Ta grosse teub est bien bonne, mais je veux goutter autre chose, et si on te l'a jamais fait, je pense que tu devrais apprécier" lâcha-a-t-il en positionnant ses mains de part et d'autre de mes fesses.

"Si bien sûr que je connais et je ne te cache pas que j'adore ça ! Tu peux y aller !" et je joignis l'acte à la parole en poussant légèrement mon cul vers l'arrière.

Nous étions toujours plus ou moins dans le vestibule d'entrée de la chambre, comme 2 affamés du cul, et j'allais désormais me faire déguster la RONDELLE par une jolie langue râpeuse ! Je me souviens me dire dans ma tête : "je suis bourré, j'ai rien demandé à personne et une pédale va me lecher le fion : j'ai de la chance putain !!!".

Il écarta mes 2 fesses pour se frayer un accès à mon anus rosé tandis que je poussais un peu pour le ressortir vers lui. Je m'attendais à sentir une bouche humide mais c'est son nez qui vint frapper sur ma pastille ! Il enfonça sa tête à fond en me tirant, par les hanches, vers son visage - que souhait-il ? M'enculer avec son tarin pointu ? Puis j'entendis mon blondinet renifler assez fort, comme pour se shooter avec un popper à l'odeur de mon trou d'balle ! Il respira encore puis encore ! Cela m'excitait je ne le cache pas ! Puis surprise : il frotta son nez en le remontant du bas de ma fente jusqu'en haut et continua sa course avec sa langue trempée !

"Hummmmm" je gémis tout en attrapant mon chibre veineux et raide !

Il entrepris de me nettoyer comme jamais : au bout de quelques coups de langue bien placés, ma porte anale s'assouplit lui permettant d'entrée sa langue un peu plus dans mon fondement - il savait y faire le con et sa langue tournoyante et fouillant mon conduit me fit tendre encore un peu plus mon cul en arrière. Puis d'une main, je me saisi de sa tête et entrepris de me frotter ma chatte de Mâle contre sa gueule, l'utilisant comme un vulgaire PQ. Cela eu pour effet de l'exciter d'autant plus et il ouvrit son bouton & sa braguette afin de libérer sa tige.

Désormais, j'étais complètement penché vers l'avant, ce qui me permis de jeter un coup d'œil derrière moi pour m'apercevoir qu'il avait une queue bien blanche et de très belle taille (16/17 cm je dirais, tellement blanche que je pouvais voir toutes ses veines gonflées comme si c'était une carte routière ^^). N'étant pas (ou très peu) passif à l'époque (même si sur ce point j'ai pas mal évolué depuis : pourquoi se priver quand on peut profiter de TOUT ?!), la vue de sa verge combinée à l'humide chaleur de sa bouche en ventouse sur mon troufion me donna quelques idées !

Je me redressais donc sans trop lui demander son avis, avança vers le centre de la chambre et plus précisément vers le lit. Il me suivait de près, à 4 pattes sur la moquette de l'hôtel. Arriver sur le lit, je m'allongea, mon poireau pointant vers le plafond, prêt à se faire dégorger ! Se rapprochant, il s'installa entre mes cuisses mais ce n'est pas ce que je voulais !

"Non non, viens sur moi, viens tête-bêche" dis-je doucement.

"En 69 ? Mais tu suces toi ?" dit le lécheur avec une pointe d'étonnement !

"Rarement mais je ne réfrène jamais une envie et LA J'AI ENVIE !"

Il enleva définitivement son futal, grimpa sur le lit, pivota, tête vers ma pine et pine vers ma gueule.