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Une fin de stage en 69 ! 4 (fin)
Mes meilleurs vœux à vous pour cette nouvelle année qui s'annonce palpitante en sensations (sexuelles mais pas que-ues, mais surtout SEXUELLES , sinon on ne se réunirait pas ici !).
Pour bien débuter 2024, quoi de mieux que de raconter la fin explosive de cette superbe nuit dont je garde un souvenir impérissable - tellement l'incongruité de la situation m'a marqué (baiser à la soirée de fin de stage, voyons, un peu de tenue !). Pour vous rafraîchir la mémoire, sûrement un peu sonnée encore de vos folies du Nouvel An : je venais en fin de soirée d'entreprise de rejoindre un collègue dans sa chambre afin de nous exciter et surtout de jouir pour le plus grand plaisir de mes bourses gonflées ! Après une pipe baveuse, je l'invitai à me rejoindre sur le lit pour un 69 juteux.
J'étais allongé, à poil, sentant le Mâle alcoolisé, tête à moitié dans les vapes mais braquemart palpitant et fièrement dressé attendant que l'humide bouche de la lopette fasse son office jusqu'à l'explosion ejaculatoire ! Je l'avais invité à me rejoindre, non pas pour faire le pacha, mais pour partager un peu + ce moment en s'offrant mutuellement nos bites à nos lèvres mouillées. Étonné mais pas farouche - bien au contraire vu à la vitesse à laquelle le blondinet se rapprochait du lit en marchant à 4 pattes comme une petite chienne - il vient s'installer comme demandé. Il monta sur le bord droit du lit (j'étais étendu de tout mon long en plein milieu), rapprocha son bas-ventre de mon visage tout en dirigeant sa tête de pompeuse de chibre vers mon entre-cuisse dur d'excitation. Je tournai la gueule légèrement vers lui pour m'apercevoir que sa nouille bien érigée était totalement dépourvue de poil (tant mieux !) et me semblait d'une taille bien inférieure à la mienne, tant en longueur qu'en épaisseur - cela n'était pas pour me déplaire bien au contraire. Avoir le plus gros engin des 2 redoublait ma tension sexuel, renforçait ma position de Mâle par rapport à cette lope et me permettrait sûrement de lui offrir ma bouche sans crainte d'être trop souillée. Je pourrai lui retourner la gaterie buccale généreusement et facilement, me permettant ainsi de me profiter encore mieux de la fellation goulue qu'il allait me faire.
"J'avoue que je n'y attendais pas à cette proposition, je pensais être la seule suceuse ce soir !" dit-il la bouche encore libre quelques secondes tout en enjambant mon visage, sa fine bite flottant désormais au dessus de mon regard avide !
Je me lançai en empoignant fermement son sexe lisse entre mes doigts, le dirigea vers ma bouche qui s'ouvrit instinctivement, saliva fort pour accueillir chaleureusement son outil de plaisir, visa l'entrée de mes lèvres avec son gland sorti de son prépuce trop étroit, senti glisser quelques centimètres de son extrémité rougie entre mes lèvres, aspira en relevant légèrement la tête et entama ma fellation ! Il lâcha un râle soupirant et plongea immédiatement sa tête vers mon braquemart de salaud pour me rendre la pareille mais de manière plus franche, plus directe, plus SALOPE AFFAMÉE de sexe d'hommes odorants !
A partir de là, je dois le confesser, tout alla extrêmement vite (sûrement trop vite mais j'étais trop dans le plaisir et l'alcoolémie pour me retenir et me rappeler de chaque seconde).
Je me rappelle surtout que cette 2è partie d'amusement - cette pipe goulue - fut bien plus forte en sensation, que le plaisir pénien monta très vite, au point qu'après à peine quelques minutes, je me retrouvai déjà acculé au bord (edge :p) de la falaise orgasmique, prêt à dégainer mon cumshot comme un pistolero en rut ! Perdant le contrôle, mon esprit étant aspiré par mon noeud lui-même aspiré par sa bouche, j'essayai tant bien que mal de lui rendre un peu du bien-être qu'il s'appliquai à m'offrir. Ma langue luttait pour rester au contact de sa douce tandis que ma main continuait à le branler fortement comme si c'était ma propre verge (et je ne sais pas vu, mais difficile d'être réellement efficace en 69 quand on se trouve en dessous). Il accélérai encore, sa bouche descendit au 3/4 de ma longueur, remonta en laissant s'écouler un filet baveux, reprit sa descente puis sans prévenir, il me massa les couilles.
Une sensation électrique monta suite à une contraction anale incontrôlée, pétrifiant mes testicules, serrant la base de verge et soudain le jus de joie monta de mon canal urétral. L'ORGASME, l'incontrôlé, le brutal, la délivrance par la jouissance masculine, les muscles qui deviennent raides, la crampe soudaine à la jambe, la première chaleur liquide en bout de manche, la contraction et les jets vifs. Il retira sa bouche, pris du recul.
"Oui crache pour moi, gicle devant mon regard !" exclamatif !
Je lâchai sa bite pris, par mes grognements. Quelques minutes, il me dégagea sans jouir.
Je n'aurai pas imaginer cela : une fin de stage en 69 !
- 3 Jan., 2024
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"Monsieur" a souvent des commentaires désobligeants !
@Claude : désolé si ce fut plus long qu'attendu, j'ai eu du mal à finir il est vrai (d'autant que la fin je m'en rappelle très moyennement, à part qu'elle fut plaisante ^^). Bisous
@Monsieur : dans quel sens ? si c'est le fait que je finis pas, c'est avant tout par manque de temps malheureusement... désolé.
Tu nous fais attendre de plus en plus !
C'est un suspens intolérable.
Tu commences à être lourd mon poulet ...