Rencontre versatile avec un couple quinqua de Montreuil 2
Bonsoir, ou BonNuit vu l'heure bien avancée au moment où j'entreprends de vous raconter la suite (et même le début si je puis dire...) d'un plan baise très chaud - récit vécu d'une folle nuit torride en compagnie d'un couple très vicieux de 20 ans mes aînés ! Formé de Didier (celui avec qui j'avais pris contact) et de Jean-Luc (son mec donc), ce duo de concubins chauds du fion remplit aisément mes pensées sexuelles tout au long du trajet en Uber. Mais, finalement, pas une seconde durant l'aller, j'avais visualisé - ou imaginé, ou même tutoyé - ce moment suspendu si débridé !
Durant le trajet, Didier et moi n'avions pas arrêté de nous échanger des envies et des cochonneries. Par conséquent, quand le Uber me déposa au pied de l'immeuble, j'étais tellement chaud et à l'étroit dans mon futal que je n'avais qu'une hâte : monter les escaliers 4 à 4 afin d'arriver dans l'entre du plaisir sans perdre une seule seconde ! Je me rappelle être arrivé à leur étage essoufflé mais je n'ai pas attendu pour frapper à la bonne porte. Elle s'ouvrit aussitôt, lui aussi m'attendait de pied ferme visiblement ! Je vis un salon bien agencé (avec le canapé en plein milieu sur lequel était posé un cockring) & bercé dans une ambiance Chillax qui me mis de suite à l'aise. Pas de Didier en revanche devant moi. J'entrai, fis 2 pas, la porte se ferma ce qui m'invita à me retourner.
"Salut, content que tu sois venus si vite et si chaud" me dit le cinquantenaire.
Mes yeux étaient déjà en train de parcourir le mâle nu qui se dressait devant moi. Comme sur les clichés échangés, Didier était athlétique, un visage accueillant avec ses cheveux courts gris/blanc, et équipé d'un beau paquet pendant et compressé par l'imposant cockring siliconé placé à sa base.
"Bah alors on ne dit pas bonjour ? Pas très poli ! Attention à ne pas être puni !" dit-il en rigolant - toujours avec un air bienveillant - tout en s'approchant de moi.
Je le laissai venir sans dire mot, mais, certainement que mon regard ainsi que la légère déformation à mon entrecuisse lui avait suffit.
Didier se colla contre mon corps, passa sa tête au niveau de mon épaule, m'embrassa le creux de la clavicule, tandis que par réflexe je posai fermement les mains sur son petit cul ferme et imberbe. Je débutai un massage tonique de ces 2 globes - en guise de bonjour - tout en me collant toujours plus à lui. Le contraste entre lui complément à poil et moi complètement habillé (pour braver le froid de l'hiver), planté là dans l'entrée, devait détoner. Il continuait ses embrassades sur mon cou, remonta d'une langue agile vers mon lobe d'oreille, le suçota comme un bout de verge puis me glissa (en chuchotant) :
"Laisse moi te déshabiller que je puisse voir et toucher en réel ta queue d'homme"
Et joignant les actes aux mots, il ôta mes affaires facilement (l'habitude sans doute) jusqu'à ce que je me retrouve plus qu'avec mon jogging et mes chaussettes. Torse nu à mon tour, je senti sa peau frôler la mienne. Mais cette sensation tactile fut brève car Didier était déjà en train de s'accroupir, de sorte à placer sa tête à hauteur de mon paquet sexuel. Il attrapa l'élastique de mon jog, tira net et libéra dans un jaillissement ma grosse queue veinée. Elle bondit à quelques centimètres de sa gueule et, saisissant l'occasion au vol, Didier l'aggripa pour la diriger droit dans sa bouche humide.
Il ne prit même pas le temps de (se) préparer qu'il se lançait déjà dans une pipe goulue ayant pour projet de me rendre plus dur que dur ! Il allait loin, il l'enfonçait au fond, il avait clairement de l'expérience en tant que bonne petite suceuse de tige.
"Hummmmm quel accueil ! Si je suis si bien pompé dès l'entrée, que réserve le salon !" dis je tout en gémissant.
Ce commentaire eu pour effet de le chauffer encore plus visiblement car il retira ma queue, cracha et saliva fortement dessus avant de m'aspirer avec encore plus de vigueur, tel une belle catin avide de viande ! J'entendis les bruits de bouche de ma suceuse mélangés à son plaisir - se matérialisant par des petits grognements de mâle en rut. Je mis mains (libres de son cul désormais) sur sa tête pour accompagner le mouvement de va-et-vient mais sans forcer. Sauf qu'il le fit pour moi, il plaqua une main sur la mienne et appuya pour me faire comprendre qu'il attendait que je lui baise la gorge comme une chienne ! Je me fis pas prier, et même si je redoutais un orgasme précoce qui pourrait échapper à mon contrôle, et gara mon gland lisse au plus loin que je puis. Bite dans le gosier affamé, Didier ne bougea pas, maintenant la pression quelques secondes, puis se retira net laissant un énorme filet de bave épais reliant mon bout à sa bouche ! Tellement bon et tellement visuel, terriblement bandant !
Il profita de l'instant pour se relever et m'inviter à le suivre au salon..
- 21 Mar., 2024
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Enfin la suite, que j'attendais !
Tu atteints toujours mes espérances, tellement tes textes sont réels et détaillés. Le 3e épisode pour bientôt.