Rencontre versatile avec un couple quinqua de Montreuil 3
Coucou les assidu(e)s et les autres amateurs de témoignages bien excitants (et bandants) car réels ! Je sais que j'écris de manière moins régulière car je manque de temps - et surtout parce que je n'aime pas & n'ai pas envie de bâcler les récits de ma vie sexuelle que j'adore rédiger et partager avec vous tous !
Et la suite de ce plan baise bien chaud entre mecs surexcités du gland et de la fente ne va pas déroger à cette règle ! Notamment car je brûle de désir - tout en astiquant mon manche raide - en pensant à vous détailler aussi fidèlement (et crûment) possible le reste de cette partie nocturne. Une partouze longue et forte en jouissance, débutée à 2 et finie à 3...grâce à la participation torride du mec/amant de celui qui m'avait invité (Didier) ! Pour rappel, Didier est un cochon quinquagénaire, en couple, toujours partant pour sucer un plus jeune à belle bite - comme la mienne (visiblement). Il avait d'ailleurs commencé son œuvre de pompeuse avide de jus à peine j'avais franchi le pas de la porte. Après une mise en bouche baveuse, le vieux cochon m'avait inviter à le suivre au salon.
Marchant d'un pas non-chaland tout en roulant du cul - m'offrant ainsi quelques secondes sa croupe lisse à mon regard pervers - il s'était arrêté au niveau du canap, mis en position assise (jambes tendues à même le sol), avait reposé son dos contre le bord du sofa et m'attendait tout en me fixant d'envie. Je vins donc placer mon pubis au hauteur de son visage, ancrai mes pieds de chaque côté de ses cuisses, posai mes mains sur le haut du dossier en faisant donc face à mon suceur du soir. Puis, comme pour faire des pompes, je penchai mon buste vers l'avant en pliant mes coudes ce qui eu pour effet de coller mon sexe luisant sur sa gueule. Il l'attrapa d'une main pour le diriger de nouveau vers sa cavité buccale. Une fois mon gland turgescent en position contre ses lèvres en cul de poule, je rapprochai vivement mon torse et mon bassin en direction du canapé (qui allait devenir par la suite notre îlot de plaisirs charnels). Ma bite pénétra une nouvelle fois la bouche soyeuse de Didier, jusqu'aux couilles ou presque. Je me retirai en dépliant mes bras tout en me concentrant sur les sensations parcourant ma chaire pénienne, centimètre après centimètre. Une fois reculée, le vicelard plaqua ses 2 mains sur mes globes fessiers - de manière à s'agripper à mon cul - et fit le mouvement inverse au mien. Avançant sa gueule humide d'excitation vers mon bas-ventre, il entama une nouvelle gâterie. Le rythme s'intensifia nettement : je poussai mon corps vers l'assise et lui poussait sa tête à jus vers toujours plus de queue ! C'était bon, Didier (fort de ses dizaines d'années d'expérience dans l'art de tailler une grosse pipe) savait parfaitement y faire, manageant plongée profonde et retrait doux & lent. Je me sentais de nouveau partir vers un orgasme certain. Et plus nous accélérions, plus j'eu du mal à cacher vocalement mon bonheur.
"Hummmmm quelle bouche tu as ma salope ! Hummmmmm je sens tes parois enserrer mon vis ! Hummmmmmm suce bien à fooonnd, vasy donne toi à moi cochonne !" dis-je, ne pouvant me retenir d'avantage et désireux de l'encourager dans sa sucette.
Le quinqua suce-bite se mis lui aussi à ronronner. Il me biberonnait le chibre avec tellement d'amour.
"HUMMMMMMMMMM aspire moi !" m'exclamai-je plus bruyamment !
Je ne le savais pas encore à ce moment, mais mes bruits de jouissance montant crescendo - associés à ses bruits de ventouse-à-gland - avait eu raison du sommeil léger de Jean-Luc (le mec de Didier, quinqua à grosse teub). Concentré à bourrer joyeusement (et baveusement), je ne m'aperçus même pas de l'arrivée surprise du deuxième excité de la raie ! Toujours verge en bouche, yeux mi-clos, je fus surpris net !
"Et bien je vois qu'on s'emmerde pas ma salope ?! On invite un joli jeune homme bien membré chez nous, on le suce sur notre canapé et surtout on ne prévient pas !"
Didier ne s'arrêta pas le moins du monde, moi en revanche je tournai brusquement la tête vers cette nouvelle voix.
Je découvris donc JL, un mec sec et musclé, abdos saillants sous une peau lisse et fraîchement bronzée. Un joli visage bien dessiné, un sourire et un regard bienveillant posé sur nous deux. Mais surtout : un ENORME PAQUET (rasé) pendant entre ses cuisses. Il ne bandait pas mais impossible de passer à côté. Rien qu'en matant cette longue & grosse tige veinée, je devinai qu'elle était lourde & imposante ! Elle contrastait avec la finesse du corps qui l'accompagnait - cela la rendait encore plus impressionnante et désirable à la fois. J'oubliai même que j'étais toujours en train de me faire astiquer le poireau tant mes yeux eurent beaucoup de mal à décrocher de ce lourd braquemart ! (je me rappelle plus bien... je pense être resté bouche ouverte dégoulinante l'espace d'un instant lol)
- 6 Avr, 2024
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Hummmm ! ! ! C'est un plaisir... un régal de te lire.
Oui j'ai dû la reposter car l'édit que j'ai fait n'avait pas marché... La suite c'est surtout un plan à 3 versatile dans tous les sens
Enfin ! Voilà la suite, mais comme d'habitude... tu sais nous tenir en haleine... Que va-t'il arriver dans le prochain numéro !