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Belle Sabrina, ma voisine beurette à bite me reçoit de nuit ! (fin)
(Suite direct et fin de Belle Sabrina, ma voisine beurette à bite me reçoit de nuit ! 6)
Je mollarde sur sa rondelle toujours bien ouverte tout en lui broutant le trou – et même après tout nos ébats, je ne me lasse pas de lui gober la fente, bien au contraire ! Sa chatte de beurette sexuelle est bien dilatée désormais. Je la fouille lentement, 1-2-3 doigts. Je sors le gode de mon sac, enfile une capote dessus pendant que la brunette m'invite à prendre du gel pour de meilleures sensations dans sa grotte anale. Je laisse le gel descendre le long de sa raie et profite du spectacle, observant de manière voyeuriste la pétasse toujours en string et talons hauts. Sabrina est plus bruyante et gémissante. Il semble que nos jeux d'anus, le gel froid et l'annonce imminente du vibromasseur qui arrive la font bien réagir. J'allume le vibro, glisse le sextoy sur sa raie bien lisse & le masturbe entre ses 2 fesses (comme je l'avais fait précédemment avec mon sexe), puis lui claque l'œillet avec le jouet dans un bruit humide (en raison de la dose de gel). Enfin, je pousse l'embout vers son trou ! Comme avec ma bite, les 15 cm de plastique se font aspirer très rapidement, comme par un trou noir ! Heureusement que je le maintiens fermement et qu'il y a une cale de sécurité, car sinon je le perdais dans son tunnel à queues. Je choisis de l'enfoncer, pour commencer, avec la courbure vers le haut, faisant ainsi de doux aller retours. Encore des gémissement étouffés, elle aime ça la connasse (c'est bien et encourageant). Je constate aussi qu'elle s'attrape la queue par en dessous et la secoue. Je tourne le gode, le retire, le remets, le retourne. Cette fois, la pointe du gode pointe vers le bas, vers sa prostate que je m'attache à masser délicatement tout en rajoutant du gel et en me caressant doucement la nouille. J'accélère le rythme, et elle aussi avec son bon clito.
Je vais venir si tu continues ! dit la salope beure le souffle court.
Je n'ai pas le temps de changer de rythme, d'accélérer ou même de chopper sa nouille pendante, qu'elle enchaîne :
Hummmmmmmmmm OUIIIIII, putain OUIIIIIII, je jouis, c'est bon, tellement bon, hummmmmmmmmm !
Moi, je veux sentir cette jouissance, sa jouissance de beurette, provenant de son petit bout. Je glisse donc une main, elle maintient fermement son gland enserré dans sa paume, mais je sens quand même l'humidité collante, puis je me reconcentre pour retirer, tout en sensualité, le gode, objet de son orgasme – j'aurais aimé que cela soit ma queue… Ce n'est que partie remise !
De mon côté, je n'ai certes pas éjaculé, mais le plaisir que j'ai pris avec cette beurette sexy équivaut nettement à une bonne ejac'. Flasque et détendu, je me pose et m'allonge un instant à ses côtés. Elle s'est effondrée, fatiguée, mais visiblement heureuse de son orgasme, au vu de l'expression qui couvre son doux minois. Je continue 30 secondes à me tirer sur le zguegue, mais cela ne viendra pas, même si je sens qu'elle en veut, qu'elle aimerait ce jus. Déçu, pour ma part, de ne pas accéder à son envie coquine… Cela nous donnera une belle excuse pour se revoir, d'autant que, pour ne rien gâcher, je pense que c'est une belle personne à découvrir, avec de la conversation et du savoir-vivre. Preuve en est : j'étais venu à pied mais la gentille Sabrina me paye le Uber du retour. Cela donne envie d'y retourner déjà, mais le travail du lendemain m'oblige. Et ne soyons pas égoïste, Sabrina, aussi cochonne qu'elle soit, a sûrement envie de se reposer aussi. Je remballe donc le sextoy, un dernier câlin, un dernier bisou langoureux, un dernier regard pétillant et malicieux qui peut s'interpréter de bien des manières. J'espère l'avoir piqué, pour revenir avec un dard encore plus aiguisé la prochaine fois !
- 26 Avr, 2024
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Merci beaucoup !! Et cette fois j'ai travaillé différemment : j'ai tout ecrit avant et j'ai posté seulement quand j'avais tout
Superbe récit !