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Afin de manager ma bouche et mes genoux juchés sur des talons hauts, l’espace n’étant pas idéale à me faire sauter et à me faire prendre en sandwich par une horde d’étalons, je stoppe mes pipes au foutre et décide de changer d’endroit mieux adapté à mon rang de truie en chaleur. En sortie du glory, moi la femelle Tabatha fait face à 5 mâles bien décidés à m’tarauder l’cul sans ménagement, des mains sont vite à caresser mon beau cul d’salope, de mon coté je prend à pleine mains une belle queue large au gland violacé, et je la tire jusqu'à l’entrée d’un box garni de miroirs et d’une grande banquette en Skaï rge. Là, je lance aux chiens en rût qu’il y aura du trou pour tous, et excitée comme rarement je me place à 4 pattes sur la couche, mon string ouvert laisse voir ma chatte fendues prête aux saillies, je remue ma croupe en lançant de brefs jappements à faire monter la température de la meute, je crache une dose de salive à me lubrifier un minimum, je sens alors une violente pénétratio…

Tout est histoire de volonté, sans attendre qu’une main de maître te mène à l’abattage. Forte d’une réputation internationale grâce à mon ex site Travlove.com, je reçois par le biais de ma messagerie, un mot de F.i, jeune femelle de 23 ans fascinée par les trav’s haut en couleur, m’invitant à découvrir un sauna gay et mixte Chambérien, le Sunbeach auquel je suis conviée à titre gratuit. Téléphonant au préalable au boss à savoir s’il y a une pièce où me transformer en méga salope montée sur des talons de 17cms, ce dernier (Bruno B) très chaleureux, m’indique qu’il n’y a pas à m’inquiéter. Rdv est prit un vendredi soir pour une spéciale soirée trav, où je suis la seule vid’couilles à tester ce nouvel événement hard sex. Et voilà que le sun’ diffuse ma venue sur son site de grande influence, ainsi qu’à l’annoncer sur le mien à plus faible affluence.  Au soir T comme Tabatha, Bruno m’accueil à 21h, en présence de F.i, à devenir ma futur femelle soumise aux bittes. Non encore maquillée…

À Travailler sur Grenoble, le meilleur coin à s’faire sauter est St Egrêve. Proche de la station d’épuration, une butte boisée offre bcp d’alcoves où sont à rôder les mâles en mal de trou à tarauder sans vergogne. Mon look non maquillé de pute-mâle attirant les bites, le rôdeur voit de suite la salope idéale. Sur 13 ans à fréquenter ce lieu de 2 à 6 hrs x jrs sur 5 jours ouvrés, ma bouche et ma chatte totalisent des millier d’unités. En place dès midi à servir de femelle no kpt, un 1er se présente à lorgner la chose offerte. Ma ration d’foutre étant à portée, je m’accroupi en passant ma langue sur mes lèvres, cuisses écartées tout en masturbant mon clito d’chienne. Le mec bande, il déballe sa belle teub et la débauche commence à m’activer sur le pieu offert à ma perversité. C’est alors que survient un 2eme visiteur, qui à quelques mètres observe la scène en se branlant. Ne quittant ma pipe, je l’invite d’un geste à nous rejoindre, tout en relevant ma croupe à cambrer pour lui offrir ma…

C’est lors d’un passage sur Villepinte, à l’occasion d’un salon de l’accessoires lorsque j’étais gérant d’un centre auto, que cette aventure est survenue. J’avais 26 ans, je fréquentais déjà le parc du Verney à Chambéry, et l’idée de me taper un travelo me travaillait.. J’ai donc pris de nuit la direction du bois avec ma golf GTI de cakou, et j’ai vite trouvé l’endroit où les putes puis les trav’s tapinaient. À peine descendu d’ma caisse, arpentant le sente en bord de route, un grand trav super maquillé en micro jupe et hauts talons vient vers moi.. J’lui explique que je rech un rapport tarifé, la passe complète est à 100 francs, ont fait le deal puis il m’invité à le suivre dans les fourrés. Là il se met en position, chatte anale offerte en s’appuyant contre un peuplier...Je déballe mon service 3 pieces, j’me branle, ça gonfle, je tente de l’enculer mais, je manque de rigidité et je suis maladroit. Au bout de 2mn, le trav Brésilien se relève, sans mot dire il me plaque contre l’arbre,…

Tout commence avec ma copine de l’époque en les années 80. Béa n’était pas hard mais elle aimais jouire Un soir où j’étais à lui défoncer la chatte, qu'elle n’a pas été la mauvaise idée de la traiter de SALOPE ! Me repoussant, elle m’éjecte à me retrouver parterre tel 1 con.Suite à ce déboire, Béa travaillant de nuit, j’avais loisir à satisfaire ma libido ailleurs. Un soir, j’eus l’idée d’aller dans un parc à Chambéry, lieu où je savais que du gay rodait. Me voilà donc fébrile, à arpenter les allées sombres, où une faune est en recherche de congénères pour s’accoupler contre nature. À peine 10mns à rôder, une silhouette à l’entrée des chiottes me fait signe. Le ventre serré, je m’approche de l’alcove où règne une forte odeur de pisse, à découvrir une belle queue épaisse que le mec branlait doucement. " Tu m’suce me demande t’il. Elle te plais ? " Pris au dépourvu car je venais normalement me vider les couilles dans une lopette, voir à l’enculer en la traitant de putain d…