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Atlas : 08/08/2024 Jeudi (suite)
N° 7 : 18h10 : Un antillais s'assoit à ma gauche. Il a un bonnet et un masque, peu de blabla, il me touche, et je vais prendre en main un beau sexe pas très long mais d'une bonne grosseur. Je le branle puis le suce pendant qu'il me travaille la chatte avec son doigt. Il n'a pas de poil, a un léger ventre. Tout d'un coup, il me réclame une capote que je m'empresse de sortir, de la lui enfiler. Nous nous levons, il écarte mes fesses et entre dans ma chatte. Il défonce admirablement bien mon cul. Je me contente de quelques sniff de temps en temps au dessus de mon flacon de poppers. Il parle beaucoup, dit que je mérite d'être défoncée, que j'ai une chatte qui doit être contente de ce qu'elle reçoit en elle. Il continue son bourrinage, un coup à droite, un coup à gauche, ses va et vient sont des plus appréciés. De temps en temps il m'écarte une fesse et s'enfonce à fond. Voilà un homme qui sait donner du plaisir à sa femelle. Il a duré longtemps. Il s'arrête, enlève le préso, et se branle, je ne pouvais rien faire de moins que de le sucer jusqu'à la jouissance. J'ai tout recraché et suis allé me rincer la bouche longuement.
N° 8 : 18h29 : Il a 40/45 ans, un beau morceau de bite pas très long mais consistant. Je branle pour évaluer puis le suce environ 5 mn. Comme il ne fait que toucher ma chatte, je l'équipe d'un préservatif... et il me rentre dedans, je couine de bonheur en sniffant du poppers. Le mec est résistant et s'en donne à cœur joie. Il m'écarte bien pour atteindre chaque surface intérieure de ma chatte. Soudain il s'immobilise et reste bien calé à l'intérieur.
N° 9 : Le temps de m'essuyer, désinfecter les mains, ranger mon poppers, vérifier les capotes. Il y a un asiatique qui se fait sucer, bite pas très longue, pas grosse, mais bien raide. C'est lui qui m'attrape une fesses, d'habitude je m'en vais car je n'aime pas chiper quelqu'un qui est avec une autre personne. Il laisse tomber son suceur, se place derrière moi, je déchire l'enveloppe du préso pour me dépêcher de lui enfiler cette capuche. Je m'accoude au tas de coussins et me laisse aller à un défonçage en règle tout en sniffant le poppers. Ce fut le Nirvana.
N° 10 : 20h55 : Le n°1 m'a suivi toute l'après-midi. A nouveau, et vas-y de me caresser, de me branler, etc... Au rang derrière nous, vient un antillais, un peu de poids, 35 ans environ, qui me fait les seins gentiment par rapport à l'autre. Il a sorti une très grosse queue pas très longue, j'étais à genoux sur les siège et je me suis jeté dessus pour la sucer. Le N° 10 arrive, se frotte à moi par derrière et me travaille la chatte, sa bite n'est ni grosse ni longue, et il la branle contre ma chatte, je lui mets donc une capote pendant que je continue à sucer l'antillais derrière, je le caresse, celui-ci est très poilu sur ses jambes, son torse, ses fesses et dos... Le N° 10 n'avait pas arrêter de se branler et m'a défoncée.
N° 11 : l'antillais décide de venir au même rang que moi. Il arrive en disant qu'il veut me baiser, sa queue étant déjà à l'air, un peu ramollie, cela faisait bien 3/4 d'heure que je le suçais. Je redonne de la raideur avec ma bouche et enfile 1 condom sur cette si belle bite. Il s'enfonce en moi et me prend gentiment, hardement, il alterne la gentillesse et la sauvagerie. C'est formidable, je ne fais que dire "Oui", "C'est bon", c'est ouf comme disent les jeunes. Il tient la route une bonne demi-heure, mais il fatigue, il enlève la capote et se branle, je suce, je branle en le caressant et en lui faisant ses tétons. Au bout de bien 30 mn pendant que je le branle il jouit enfin.
A 21h45, je lève le camp, bien contente de mon après-midi.
- 2 Dec., 2024
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