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quand on inspire à la baise...
il y a une quinzaine d'année, il n'y avait pas les TEMU et autres, avec des emballages où l'on ne sait rien de ce qu'il y a à l'intérieur. Pour recevoir mes commandes de lingeries, perruques, godes, et autres, j'avais l'habitude d'y faire livrer dans un point relais et il s'agissait d'un pressing. il était tenu par un couple la cinquantaine. Lorsque j'allais chercher un colis, si je tombais sur lui, j'avais bien remarqué ses petits rictus au moment de me donner mon dû. Forcément, à l'époque, certains conditionnements étaient explicites voir dégradés donc on voyait tout.
Un jour, j'avais commandé des escarpins. Je reçois la notification comme quoi ma livraison est arrivée dans le point relais. Vers 17h, je passe au pressing. Je tombe sur le gérant qui me dit que la livraison a eu du retard et il faut repasser juste avant la fermeture à 19h. Je trouve cela étonnant mais bon. A 19h, comme convenu, j'entre dans le magasin. Le gérant est seul et me tend mon colis...sans emballage. il me balance : "elles sont très belles, allez les essayer en arrière boutique. Vous avez du goût" Mêlant la parole aux actes, il me fais signe et me montre le chemin, me passant devant pour aller fermer son magasin. Je reste bête mais je m'exécute. Dans l'arrière boutique, je me retrouve à les essayer quand je sens dans mon dos le gérant. je suis débout avec mes escarpins, un jean, et un t-shirt. Je le sens être contre moi, il est grand, bien plus grand que moi et costaud. il se colle à moi, ses mains me caressent les fesses et montent, passent devant pour aller dessous mon t-shirt chercher mes tétons. ils me les pincent d'un seul coup très fort. "HUM" je cherche avec mes mains son sexe, il est toujours derrière moi et son engin est déjà sorti et plus que dure, je devine un gros membre. je fais mine de me retourner "Ne bouge pas, tu auras l'occasion de l'avoir en bouche, petite pute !" il en profite pour me serrer plus fort les tétons, je gémis de plaisir. "Vous pouvez y aller fort, j'adore me faire démonter les tétons". Il descend mon jean, il crache de la salive sur sa main, s'en met sur la queue qu'il positionne à l'entrée de ma chatte anale. il force l'entrée mais elle est trop large, je suis sec et non préparé. je sors de ma poche une dose de gel que je récupère dans les saunas gays (ça sers toujours). il prend le sachet, l'ouvre et s'en enduit la queue en me traitant de pute. Cette fois çi, non sans mal, car elle est grosse, il rentre et se met à me labourer comme une bête sauvage. Une sacré défonce anale puis il se plaque contre moi, il est en train de me féconder.
nous restons un instant, figés, pour reprendre nos esprits, lui toujours en moi. il sort sa queue, me retourne et m'appuie sur les épaules :"A genoux, il faut bien la nettoyer avant que je rentre retrouver ma femme". il a à peine fini sa phrase qu'il me la déjà enfoncé dans la bouche. j'ai un haut le cœur, je ferme les yeux. Non pas que je n'aime pas le sperme, au contraire, j'adore avaler mais là sa queue m'offre aussi mes excréments. je lui rends propre, me lève, le remercie et part
un sacré moment
- 21 Juin, 2025
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