Au Labyrinthe, sex-shop de Tours, avec Hédoniste (1)
Je vous raconte une aventure
survenue le 24 mai 2019 au Labyrinthe (sex-shop club de
Saint-Cyr-sur-Loire, banlieue chic de Tours) sur proposition
d’Hédoniste.
Il y eut longue période - enfin elle
m'apparut longue - car le maitre me délaissa et ça me parut durer une
éternité. Mes sens étaient donc électrisés et Hédoniste m'avait
proposé plusieurs fois de venir faire la pute au sex-shop. Il
renouvela l'offre à ce moment et mes envies débordantes me firent
l'accepter avec un immense plaisir.
Ce jour, j’arrive vers 15h, un vendredi après-midi ; heure et jour
très favorables : il y a du monde partout, dès l'entrée. Mais une
femme attire de nombreux. Sur le coup, je me dis que je repars.
Toutefois trop d'envie : me faire prendre, oui, à fond, longtemps !
Aussi je reste et décide de patienter un peu. J’attends,
déambulant, me montrant, m’exhibant ; je sais que je fais de
l'effet et que forcément, à un moment ou un autre, on va
s'intéresser à moi ; surtout que mon allure de pute prête à tout
aimante les mecs. Puis je vais m’installer dans la cabine du fond
de la deuxième salle.
Évidemment, j'ai été repérée et des mecs s’approchent. Je vais à leur
contact : je sais que souvent ils sont timides et qu'il faut aller
les chercher, leur montrer qu'on souhaite être baisée comme la
dernière des putes. Je susurre : « Chéri, t’as pas envie d’être
bien sucé ? ». Et ça commence, un premier que je suce assez
longuement mais doucement, et avec beaucoup d’interruptions, sinon
il va cracher aussitôt, qu’il me dit. Alors je lui suce
délicatement le gland, l’enfile à fond dans ma bouche lentement
en l’effleurant tout juste, etc. ; brusquement il me jouit
abondamment en bouche.
D’autres regardent tandis que plusieurs sont là qui se branlent ou qui
n’arrivent pas à bien bander et à se finir. Je leur fais
comprendre que je vais m'occuper de tous : des petites bites comme
des plus grosses, des mecs vieux comme des matures (y'a pas de jeunes
malheureusement), des sexes beurs comme ceux des blanc ou noirs... Le
paquet s'agglutine et ils attendent leur tour. Alors je suce à la
chaine : 7/8 bites (je ne sais plus très bien, peut-être plus ? Peu
importe : j'adore trop sucer n'importe quelle bite pour que son jus
coule abondamment) ; ça va vite : ils larguent leur jus facilement
sans que j’ai beaucoup de travail à faire. Encore un, très envie,
il s’engouffre à moitié flasque dans ma bouche, mais ça va vite
encore : je le fais gonfler en un tour de langue et,
presqu’immédiatement, il lâche sa crème ; je n’en perds pas
une goutte puis recrache le tout sur les chaussures des mecs autour
de moi, les provoquant.
Quelle grande jouissance personnelle j’ai, d'être un jouet utile aux
mecs. Que j'adore être accroupie devant eux, leurs bites dans ma
bouche ; en position de lope soumise, m’exhibant et m'humiliant
ainsi. Trop bon et très beau, je trouve ! J’aime sucer
(évidemment, j'adore aussi me faire enculer hard) ! Pourquoi je suce
des bites ? Parce que j'aime la bite. J'aime la caresser et la faire
durcir. J'aime la prendre dans ma bouche et y amener son propriétaire
à l'orgasme. Parce que j'aime servir sexuellement les hommes. J'aime
être à genoux pour leur plaisir. J'aime les amener à un foudroyant
orgasme comme seul une fière suceuse de bites peut en donner à un
homme. Parce que sucer une bite me fait me sentir entière, me fait
me sentir à ma place, faisant ce que je dois faire, ce que je veux
faire, ce que j'ai besoin de faire. Quand une bite raide glisse dans
ma bouche et que je commence à la sucer, je ressens un embrasement,
que je n'éprouve d'aucune autre façon. C'est un embrasement composé
de plaisir, à la fois pour mon donneur et pour moi-même, de fierté
d'être une suceuse de bites, et de gratitude pour la générosité
de mon donneur partageant sa virilité avec moi et me permettant de
la servir pendant que je me nourris de son pouvoir sexuel.
Je suce les bites parce que je suis une suceuse de bites.
- 10 Oct., 2021
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