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Le travesti va être uniquement utilisé pour le sexe. Par des hommes. Et il doit admettre que le travesti, le pédé, la fiotte… n'a pas le choix de savoir quand, comment, par qui et à quelle fréquence, il est utilisé. Et son propre organe mâle superflu et impuissant doit être enfermé en toute sécurité dans une cage, exhibant ainsi sa chasteté nouvelle et inévitable.Non seulement faut-il le briser totalement mais également le préparer, physiquement et psychologiquement, à devenir la salope et la putasse (faggoterie) soumise, docile et totalement obéissante, qu'on exigera de lui. Le dresseur de putes va valider la tafiole trav comme pute. Lui va la formater cruellement et durement : ainsi le succès est-il garanti pour la mise sur le trottoir, abattage en chambre sordide, cave, cabane de chantier, foyer d’immigrés, fourgon ambulant et tous lieux de drague glauques favorables...Le travesti est ainsi maintenu dans un état d'impuissance et de vulnérabilité totales, tandis que sa chatte an…

Épuisée, passé ce stade de climax, l’engin dans mes entrailles n’est plus que souffrance abrutissante. Enfin il la retire. Je m’écroule dans la fange du sol, fracassée de partout, tête qui tourne, l’envie de vomir, les jambes sans force… Je mets un bon quart d’heure à me remettre, le maitre est aussitôt parti, sans un mot. Sans doute est-il parfaitement comblé puisqu’il a violé et rabaissé sa putain comme il en raffole. Je me relève péniblement, ne me réajuste même pas ; j’ôte mes talons hauts et rejoins, les pieds dans la boue, ma voiture, mes collants ajourés à l’entre-jambes en résille sont foutus. Ouf, le parking est désert, je me glisse au volant et rentre lourdement chez moi, putain abusée par son mac.Le maitre, à un moment, je ne sais plus très bien quand, m’avait dit : « Je verrai ainsi si tu vaux mon attention. » Après ce dernier épisode, promptement (deux jours après, je crois), il me précisa que je valais plus que son attention : « Te veux const…

Je reste en position telle la pute vulgaire et servile, corrompue inflexiblement par son mac. Il revient, grogne sourdement : « Baisse ton dos, à l’horizontale, la putasse, cambre au max, ouvre ton anus ! » J’obéis. Jetant un regard sous mes bras appuyés au bâtiment, je vois qu’il tient une batte de baseball de taille moyenne mais bien épaisse. J’ai peur et m’écrie : « Non maitre, pas ça », mais déjà j’ai abdiquée puisque j’ajoute immédiatement : « Doucement s’il vous plaît. » Je sens qu’il est en plein délire. A-t-il bu ? Brusquement, il me tend le bras et braille : « Gaze-toi salope ! » Super, du poppers, j’adore ! Je prends la fiole, appuyant mon crâne contre le mur pour ne pas perdre la posture, ouvre le flacon et sniffe longuement 3 fois dans chaque narine. Ouah, c’est du fort, je chavire en quelques secondes, quelle secousse.- « Encore ma putasse. Tu vas en voir besoin ». Je recommence…

J'ai eu, pendant un an environ mais ça s'est terminé l'été 2019, un maitre sévère, occasionnel, que je voyais de temps en temps. Il était marié et peu disponible avec son boulot de commercial. Une fois, je lui ai proposé : « Maitre, je vous attends au lieu de rendez-vous de la dernière fois mardi à 9 h, en tenue comme dans chambre : tenue lingerie, collier et laisse. Vous saisissez laisse et suis votre chienne, je vous suce gorge profonde et vous prenez quelques photos de votre pute, par exemple avec votre bite dans ma bouche ! »- « Ok ça me va ma salope. Quand j’arriverai, tu devras être à 4 pattes la tête baissée, les jambes écartées. » En fait, j’en avais vite pris l’habitude mais il adorait me le répéter, sans doute affirmant ainsi son pouvoir sur sa larve. « Je commencerai par te rentrer un ou deux doigts, ensuite je baiserai ta bouche de pute et te cracherai tout au fond de la gorge. »- « Bonsoir Maitre, pour demain, que préférez-vous : 9h…

Je retourne à mon box.  Aussitôt un mec se présente. Il sort sa bite... et c’est vite fait ; mais peu de jus et d’exaltation ; pourtant il me dit apprécier beaucoup. Et ça s’enchaîne : 3 autres fellations rapides. Finalement encore un dernier pour une suce, je crois. Lui aussi s’approche mollement, embarrassé : un petit gros, l’air de rien mais costaud. Aussitôt que j’ai baissé son pantalon, accroupie encore une fois devant l’un de ses messieurs pour ma tâche de putasse soumise, il se révèle brusque, autoritaire, dominateur, sévère et dur, me prend la tête et l’enfonce sur sa bite à moitié durcie. Nez et bouche collés contre sa toison abondante, il m’empêche de respirer au point que j’étouffe et que je suis obligé de repousser de force ses cuisses et de me retirer pour happer une grande goulée d’air. Pourtant j’adore tout de suite. Le perçoit-il ? Oui, il le ressent car sans arrêt il recommence ; je n’ai plus que la possibilité de me libérer brutalement, juste quelques secondes, d…

Vient alors le tour d’Hédoniste. Très content de me connaitre, moi également ; depuis le temps qu’il me proposait des rencontres au Labyrinthe. Il a une superbe queue, genre 18x5, bien turgescente et j’ai un peu de mal à toute l’enfiler d’un seul coup dans ma bouche. Lui aussi, comme presque tous les mecs que je rencontre,m’affirme que je suce bien, pendant qu’à genoux, je lui impose ma science de la fellation. Je lui dis qu’avec une si belle queue,il devrait m’enculer. Presqu’aussitôt dit qu’aussitôt fait :toutefois avant il veut me dilater. Il me saisit, m’oblige à me relever, me fait mettre à 4 pattes, lui derrière mon cul bien tendu; immédiatement, il enfonce 2 doigts vigoureusement dans ma chatte anale. Il apprécie car il me trouve facile à manipuler. Et il y va puissamment pendant que je le branle afin que sa bandaison reste bien ferme. C’est un vif plaisir que de sentir dans ma paume sa grosse verge tendue qu’il va m’enfoncer ardemment, je le sens, dans mon arrière-train de puta…

Je vous raconte une aventuresurvenue le 24 mai 2019 au Labyrinthe (sex-shop club deSaint-Cyr-sur-Loire, banlieue chic de Tours) sur propositiond’Hédoniste.Il y eut longue période - enfin ellem'apparut longue - car le maitre me délaissa et ça me parut durer uneéternité. Mes sens étaient donc électrisés et Hédoniste m'avaitproposé plusieurs fois de venir faire la pute au sex-shop. Ilrenouvela l'offre à ce moment et mes envies débordantes me firentl'accepter avec un immense plaisir.Ce jour, j’arrive vers 15h, un vendredi après-midi ; heure et jourtrès favorables : il y a du monde partout, dès l'entrée. Mais unefemme attire de nombreux. Sur le coup, je me dis que je repars.Toutefois trop d'envie : me faire prendre, oui, à fond, longtemps !Aussi je reste et décide de patienter un peu. J’attends,déambulant, me montrant, m’exhibant ; je sais que je fais del'effet et que forcément, à un moment ou un autre, on vas'intéresser à moi ; surtout que mon allure de pute prête à toutaimante les mecs. P…