Au Labyrinthe, sex-shop de Tours, avec hédoniste (3)
Je retourne à mon box. Aussitôt un mec se présente. Il sort sa bite...
et c’est vite fait ; mais peu de jus et d’exaltation ; pourtant il me
dit apprécier beaucoup. Et ça s’enchaîne : 3 autres fellations rapides.
Finalement encore un dernier pour une suce, je crois. Lui aussi
s’approche mollement, embarrassé : un petit gros, l’air de rien mais
costaud. Aussitôt que j’ai baissé son pantalon, accroupie encore une
fois devant l’un de ses messieurs pour ma tâche de putasse soumise, il
se révèle brusque, autoritaire, dominateur, sévère et dur, me prend la
tête et l’enfonce sur sa bite à moitié durcie. Nez et bouche collés
contre sa toison abondante, il m’empêche de respirer au point que
j’étouffe et que je suis obligé de repousser de force ses cuisses et de
me retirer pour happer une grande goulée d’air. Pourtant j’adore tout de
suite. Le perçoit-il ? Oui, il le ressent car sans arrêt il recommence ;
je n’ai plus que la possibilité de me libérer brutalement, juste
quelques secondes, de son emprise compacte afin de reprendre une goulée
d’air quand l’asphyxie devient dangereuse. Jamais je n’ai subi une telle
succession si déchaînée et cruelle de gorges profondes violentes,
d’autant que sa bite se raffermit de plus en plus. Heureusement, elle
est seulement un peu plus que moyenne : ouf j’échappe à la suffocation
garantie ! Bien que je tente de glisser ma langue sous sa bite, de
lubrifier au maximum, de détendre ma gorge et d’accepter l’enfoncement
dans mon larynx, j’ai des asphyxies dangereuses que je tente de
supporter résolument, ne me débloquant rudement qu’au dernier instant.
Plusieurs types zieutent avec excitation la trav lope démontée comme une
larve. Vais-je tenir le rythme ? J’ai l’impression que ça fait un trop
long moment que je me fais défoncer la bouche comme une chatte élargie
de chienne en chaleur : j’ai un peu peur maintenant. Vais-je pouvoir
échapper à ses étouffements ? Alors que violentée une fois encore : tête
plaquée vigoureusement contre son bas-ventre, sur mes épaules ma
perruque arrachée, sa queue plantée dans ma gorge, en apnée totale, au
moment où je me dis : ne panique pas, tu le cognes et t’échappes,il me
relâche et me redresse tandis que je tente de récupérer,aspirant
avidement tel un apnéiste surgissant des profondeurs aqueuses, un air
qui me semble trop raréfié.Il est content de lui. Souriant, il me laisse
récupérer à ses pieds.Je veux me recoiffer, il ne m’en laisse pas le
temps, me retourne d’un seul coup ; il est fort et moi je ne résiste pas
non plus,trop épuisée par la fellation infernale. Je me retrouve
affalée sur la banquette du box, le cul relevé et je sens ses gros
doigts s’engouffrer sans ménagement dans mon anus. Ouf, ç’est rude
!Mais, que j’aime servir ainsi de larve, subir des assauts violents et
directifs. Ce n’est pas possible, à fréquenter mon maître, je suis
devenue une truie soumise qui adore être traitée comme une vulgaire
putain à tout faire, en m’insultant et m’humiliant.Oui, je veux souvent,
et par groupes déchainés, sperme, pisse et défonçage de mon cul de
grosse salope sans retenue et sans pitié pour la sale petite pute que je
suis. Lui, il n’hésite pas à me défoncer avec ses doigts, 4 y sont,
avec lesquels il me fouille, les tournent ; ouah, je vais le sentir
passer. Pas de gel, pas de gant ! Je morfle : c’est normal ! Et j’aime ça
: je ne sais pas pourquoi mais je veux être brusquée, sucer en gorge
profonde de façon contrainte et me faire prendre très fort longtemps et
sans ménagement. Oui, n'hésitez pas, messieurs, à être à la lisière de
l’abus et même du viol.Je comprends d'un coup qu'il veut me fister :
main complète dans mon cul de grognasse larvée. Oups, je voudrais bien
mais pas à cette cadence, à ce rythme... non trop douloureux et surtout
il va me déchirer ou à tout le moins me provoquer des fissures
anales. Alors, je le crie : "Pas fist ainsi, plus doucement, tu me
casses. Prends ton temps !" Il s'en fout et tente comme un gros connard
machiste d'enfoncer sa main qui coince aux 5 doigts ! Trop mal, pas
envie de ça ! Alors je me jette en avant et me dégage d'un seul coup
mais très douloureusement ; je crie. Il grommelle, pas content, vexé. Ne
dis rien mais tente de me reprendre de force, me réinstaller à 4
pattes. je me débats et lui crie :Non et non, t'ai dit pas ainsi,
connard !"Il semble sidéré ; je m'inquiète : va-t-il me cogner ? Il
souffle très fort, hausse les épaules, se retourne et se tire. Ouf, moi
aussi je souffle ; 3 mecs regardent : ils ont profité du
spectacle.Qu'attendent-ils ? Que je les suce ? Plus question. Je suis
épuisée: j'en ai marre. Il m'a un peu gâché l'après-midi, ce gros
porc.Je me rajuste et moi aussi, je file.
- 10 Oct., 2021
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Même une pute de b as étage comme moi qui adore être prise hard par groupe à la chaîne a le droit au respect et au consentement. Metoo c'est pour toutes et tous