Violée par mon maître durement avec une batte de base-ball 3

Épuisée, passé ce stade de climax, l’engin dans mes entrailles n’est plus que souffrance abrutissante. Enfin il la retire. Je m’écroule dans la fange du sol, fracassée de partout, tête qui tourne, l’envie de vomir, les jambes sans force… Je mets un bon quart d’heure à me remettre, le maitre est aussitôt parti, sans un mot. Sans doute est-il parfaitement comblé puisqu’il a violé et rabaissé sa putain comme il en raffole. Je me relève péniblement, ne me réajuste même pas ; j’ôte mes talons hauts et rejoins, les pieds dans la boue, ma voiture, mes collants ajourés à l’entre-jambes en résille sont foutus. Ouf, le parking est désert, je me glisse au volant et rentre lourdement chez moi, putain abusée par son mac.

Le maitre, à un moment, je ne sais plus très bien quand, m’avait dit : « Je verrai ainsi si tu vaux mon attention. » Après ce dernier épisode, promptement (deux jours après, je crois), il me précisa que je valais
plus que son attention : « Te veux constamment, chaque fois que possible, comme ma salope soumise à utiliser selon mon bon plaisir. »

J’étais trop heureuse.  Il me signifia encore une prochaine rencontre et ajouta, mais c’était une rengaine connue : « Je te veux en travers du lit pour que j’ai accès à tes deux orifices, à 4 pattes cuisses largement écartées, cul ouvert et graissé. Pense aux capotes, déjà que je paye la moitié de la chambre. Je suis plutôt gentil, tu devrais même me payer pour avoir la chance que je te dresse alors que je le fais
gratuitement. » Toutefois, pour une fois, je réfutais aussitôt son injonction : « Ah non là pas d'accord maitre, vous avez aussi la chance d'avoir une bonne chienne à votre dispo, très obéissante. Je vous signale Maitre que je viens encore de refuser une proposition d'un autre maitre pour respecter mon engagement avec Vous, donc je pourrais aussi me faire payer après tout ! » Il avait corrigé aussitôt : « Avec les autres, oui ma salope ! »

• 3 Nov., 2021
• TravClémentine
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