Violée par mon maître durement avec une batte de base-ball 2
Je reste en position telle la pute vulgaire et servile, corrompue inflexiblement par son mac. Il revient, grogne sourdement : « Baisse ton dos, à l’horizontale, la putasse, cambre au max, ouvre ton anus ! »
J’obéis. Jetant un regard sous mes bras appuyés au bâtiment, je vois qu’il tient une batte de baseball de taille moyenne mais bien épaisse. J’ai peur et m’écrie : « Non maitre, pas ça », mais déjà j’ai abdiquée puisque j’ajoute immédiatement : « Doucement s’il vous plaît. » Je sens qu’il est en plein délire. A-t-il bu ? Brusquement, il me tend le bras et braille : « Gaze-toi salope ! » Super, du poppers, j’adore ! Je prends la fiole, appuyant mon crâne contre le mur pour ne pas perdre la posture, ouvre le flacon et sniffe longuement 3 fois dans chaque narine. Ouah, c’est du fort, je chavire en quelques secondes, quelle secousse.
- « Encore ma putasse. Tu vas en voir besoin ». Je recommence et ça tourne méchamment, mais j’ai soudainement l’anus qui me démange. « Allez la pute, gaze-toi et détends-toi, je vais te défoncer ton cul, que tu sois bien élargie ! » Trop envie de contenter mon maître, aussi suis-je prête à subir des tortures anales qui, cependant j’espère, ne vont pas mettre en danger mon intégrité physique. Alors, je renifle à fond plusieurs fois. Ouah, ça ébullitionne dans mon cerveau, mes jambes tremblent, j’ai du mal à me maintenir et bien qu’en état second, je devine que mon mac enduit de gel la batte. Cependant maintenant, je veux, mon cul en a besoin, il l’exige… Vite maitre, pensé-je, que je profite de l’effet du poppers.
Le geste est puissant : en un seul coup calme mais régulier, il me l’enfonce dans l’anus. Le poppers n’est pas suffisant : je crois exploser et hurle ; il suspend quelques secondes son geste, me donnant le temps de souffler et de récupérer. Je me dis que je dois avoir plein de fissures anales ; heureusement, grâce au poppers, je m’accepte en tas de viande violentée, goûtant la torture mêlée d’un plaisir qui pointe progressivement. Le maitre recommence au même rythme, un peu plus en profondeur : je souffle à fond. Cul cassé, dilaté, j’ai mal mais finalement j’apprécie. Que ce soit en lope ou en trav, il faut bien que
je reconnaisse que j’aime être une soumise violentée et abusée sexuellement. Maintenant, j’en veux infatigablement tandis que le maitre maintient la batte, la fais pivoter.
- « Oui encore, maître ! » Le tourment du début devient délectation : exaltation et supplice intriqués, je vais jouir du cul. D’une main, mon mac me prend la tête, se met de côté, moi de travers, la dirige vers sa bite sortie de son pantalon. Je le suce, courbée en deux, sa queue profondément enfoncée dans ma bouche, lui penché sur mon dos en train de me besogner avec la batte. Je sens mon plaisir monter, par vagues de plus en plus puissantes ; mon anus farci par la batte se rétracte dessus et le maitre emmène l’objet le plus profond qu’il peut. Mais il s’arrête car je beugle d’un coup : trop pénétrant, va trop loin, me déchire le ventre, le connard. Excité par mes cris, sa queue gonfle dans ma bouche, l’emplit, plantureuse, dilatée et massive, dure, il balance alors tout son jus et il y en a. Sa crème en bouche me procure subitement une jouissance extra, je pars en vrille dans une délectation jamais ressentie jusqu’à présent, Je m’étouffe presque. Il retire sa queue, j’ai la bouche libre pour respirer normalement et surtout le supplier de retirer la batte.
- 3 Nov., 2021
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