|
Violée par mon maître durement avec une batte de base-ball 1
J'ai eu, pendant un an environ mais ça s'est terminé l'été 2019, un maitre sévère, occasionnel, que je voyais de temps en temps. Il était marié et peu disponible avec son boulot de commercial.
- « Ok ça me va ma salope. Quand j’arriverai, tu devras être à 4 pattes la tête baissée, les jambes écartées. » En fait, j’en avais vite pris l’habitude mais il adorait me le répéter, sans doute affirmant ainsi son pouvoir sur sa larve. « Je commencerai par te rentrer un ou deux doigts, ensuite je baiserai ta bouche de pute et te cracherai tout au fond de la gorge. »
- « Bonsoir Maitre, pour demain, que préférez-vous : 9h ou 17h ? Trop envie d'être votre pute à humilier, à doigter... SVP maitre pas à 4 pattes car sol du bâtiment abîmé très dégueu. Je préférerai être ainsi comme sur photo jointe, debout : votre pute dont vous venez vérifier l'ouverture et l'humidité... Vous arrivez, je vous attends comme votre pute en train de faire le trottoir, vous m'alpaguez, m'insultez, me claquez... me collez contre mur, m'obligez à vous tendre le cul, etc., introduisez vos doigts, me dilatez... puis... le reste ! L'idée vous séduit-elle ? Et la tenue ? »
- « Super ma chienne comme ça, une vraie petite putain à fourrer, crois-moi tu seras bien humiliée et larvée comme une pute. »
En effet, je fus servie. Arrivant, il me fait signe et je me penche instinctivement. Le maitre introduit un doigt dans mon cul, l’enfonce au max et le retire, puis me le fait lécher. Il m’en remet deux puis trois et un quatrième afin de bien m’élargir le trou. Il joue ainsi, les faisant tourner dans mon orifice dilaté. Heureusement j’ai mis du gel mais ça n’empêche pas une certaine douleur car il y est allé vite et profond. Constatant la propreté de mes entrailles, il me dit : « Ok c’est bon, tu peux servir ! » Et il m’humilie et me baise durement comme à son habitude.
Quelques jours après, flairant ma frénésie dégradante, le maitre propose : « Tu sais que tu es super bandante habillé comme une putain. J’aime beaucoup. Mardi 29, es-tu libre ? De quelle heure à quelle heure ? Je te le
redis, ces premiers rendez-vous en trav se font entre toi et moi. Plus tard, je te louerai à d’autres hommes. Sache que notre prochaine séance sera encore hard pour toi. »
En effet, elle l’a été. Je l’attends dans le petit bâtiment délabré du parc périurbain sud-ouest.
Habillée en putain comme sur la photo, je fais semblant de tapiner.
Maître arrive, pas un mot ni un regard ; il me saisit, m’écrase contre le mur, je me cambre illico ouvre grand mes cuisses. Il écarte mes fesses et force mon cul avec 2 doigts, à fond d’un seul coup. Je crie, alors il en insère 3, j’endure et ne dis plus rien, serrant les dents, puis 4. Il retire d’un coup ses doigts, pose son gland sur mon cul, l’enfonce hargneusement jusqu’à la moitié, reste 2 secondes en suspend comme ça et
m’enfile le reste d’une poussée sauvage. Il appuie fort sur mes épaules, me plaquant la tête contre le mur à l’odeur puante.
Cruellement, il me viole : je ne savais pas que consentante, on pouvait être violée ! Il me pilonne, glisse sa main gauche sous ma veste, tire sur ma guêpière et me pince les tétons en même temps. Ouah, ça me fait du bien et je sens enfin le plaisir, un peu. Il me défonce, m’écrase le bout des seins, je commence à savourer ce viol, et ma jouissance sourd lentement mais sûrement. J’ai les reins en feu, je le crie, le lui dis :
« Allez-y défoncez votre pute ! », et il le fait longuement. Il se retire et m’intime l’ordre impérieux de ne pas bouger.
- 3 Nov., 2021
- 1706 vues
- Pas de commentaires
