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Au tapin
J'avais ce fantasme de faire le trottoir, d'être une pute à pas cher prête à satisfaire n'importe quel mâle en rut, sans avoir le choix de mes partenaires. Accepter tous les hommes qui me solliciteraient, leur appartenir totalement pour un moment de baise. Pour moi, le summum de la soumission.
Je passais une bonne partie de l'après-midi à me préparer : épilation, douche, maquillage, choix des habits... Le soir venu, je me rendis dans le quartier des putes le sac à mains remplis de capotes, et garais ma voiture dans un coin inoccupé. Ma micro jupe laissait ostensiblement apercevoir mon string, ne laissant aucun doute quant au but de ma venue. J'allume une cigarette, puis une autre, faisant parfois quelques pas pour me dégourdir les jambes. Les talons de mes cuissardes claquaient sur le sol. Des voitures passaient de temps en temps. Certaines ralentissaient avant de repartir de plus belle.
Une voiture s'arrête enfin. Ni une ni deux, je me dirige vers la fenêtre qui s'ouvre et engage la conversation :
"- Bonsoir, tu cherches un peu de compagnie ?
- Bonsoir, tu demandes combien ?
- 20 balles pour une pipe, 50 pour me baiser.
- Monte, on va aller dans un endroit discret."
Je m'exécute sans autre et monte à ses côtés. Il me donne un billet de 50 que je mets dans mon sac à mains avant de m'emmener dans un parking à l'écart. Pendant le trajet, je lui caressais l'entre-jambe afin de le faire bander. Une fois arrivés, nous sortons de la voiture. Je commence par m'accroupir en lui baissant le pantalon pour sucer d'abord son sexe. Une fois celui-ci bien dur, il m'invite à me relever et me retourner, je sors une capote de mon sac à mains qu'il se met puis écarte bien mes cuisses pour l'accueillir. Il me fait pencher en avant sur le capot de sa voiture , puis s'insère en moi. J'étais enfin une vraie pute qui se faisait baiser pour de l'argent. J'étouffais mes gémissements sous ses coups de reins. Il finit enfin par se vider. Il me ramena alors sur mon coin de tapin, me remercia, puis partit.
A nouveau, j'attendis d'autres clients, et comme précédemment certains ralentissaient pour voir si la vide-couilles que j'étais était à leur goût. Après quelques clopes, un autre homme me fit monter avec lui et m'emmena sur un autre parking. Lui ne souhaitait qu'une pipe. Nous fimes cela dans sa voiture. Il ouvrit son pantalon, sorti son sexe, et alors que j'allais le sucer, il me prit la tête pour me donner le rythme. Je pompais son sexe encore et encore, pouvant parfois à peine reprendre ma respiration. Mais je devais lui obéir et m'exécuter, étant totalement sous son contrôle, chose qui d'ailleurs m'excitait. Une fois vidé au fond ma gorge, il accepta que je me remaquille rapidement puis m'ordonna de sortir, et de retourner tapiner. Une dernière petite humiliation pour moi qui devait marcher un peu pour rejoindre mon coin de trottoir, à la vue de tous. Sur le chemin du retour, une collègue me fit un brin de conversation, puis je retourne chasser le mâle.
Encore deux autres clients, puis je décidais de rentrer chez moi, heureuse d'avoir pu servir ces messieurs et réalisé un fantasme.
- 29 Jan., 2023
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@Soniatravlope : pour moi, c'était à Lausanne
Mon rêve !!!! Mais où aller sur Genève ou Annecy ???