Blogs.

Une fois dans le bois, je me suis directement collée à lui en l'embrassant comme si on se connaissait depuis toujours et que j'étais amoureuse de lui. Il était clairement excité de me voir, probablement étonné de me voir aussi directe. Vu son physique, il devait pas avoir l'habitude. Ça m'a excitée encore plus moi aussi. Peut-être aussi à cause de l'odeur de sueur de mâle mal-lavé qui me montait dans les narines. J'ai crû qu'il n'allait jamais finir de m'embrasser.Puis, j'ai retiré mon t-shirt blanc et mon short pour bien lui montrer que j'étais sa pute et qu'il pouvait se faire plaisir. Il parlait presque pas... J'ai déboutonné son pantalon et j'en ai sorti une bite toute puante de pisse. Tout ce que j'aime. Je l'ai léchée dans tous les sens pour la nettoyer. Et je l'ai sucé longuement avec plaisir. Puis il m'a relevée pour m'embrasser encore. J'adore ça, mais il me mangeait la bouche avec tant d'envie qu'au bout d'un moment, j'ai dû lui demander de faire une pause... J'avais aussi en…

Après cela, j'ai décidé de remonter draguer plus près du parking pour choper les mecs avant qu'ils descendent à la plage. En montant le sentier, j'ai croisé un mec plus âgé, peut-être 70 ans. Comme il me regardait, je me suis approchée et je l'ai embrassé doucement. Il m'a invitée à aller dans un coin discret. Il m'a demandé de le sucer pour le faire bander avant de me baiser. Puis j'ai baissé mon short. Mon cul était déjà lubrifié, il m'a enculée facilement et s'est vidé assez vite dans mon trou. Après cela, il n'a pas continué son chemin vers la plage. Il est retourné direct à sa voiture. Il avait juste besoin de se vider. Bref, j'avais ma première dose dans le cul.Plus près du parking, il y avait un chemin discret où les mecs se draguent sans avoir besoin de descendre à la plage. C'est en suivant un mec qui allait par là que j'ai trouvé ce spot. Ce mec-là avait juste envie de se faire sucer vite fait et rien d'autre. Bien sûr, je me suis exécutée, je l'ai sucé avec envie et il m'a d…

Hier, j'étais de passage dans la région de Gap.  J'avais une journée de libre que j'ai décidé de passer habillée sexy du matin au soir. Pour me promener, j'ai choisi une tenue d'été féminine mais pas provocante: un mini-short en jean, un croptop blanc (avec "kiss me" écrit en grand), et une large casquette en jean. Il faisait chaud, c'était mieux d'être habillée léger.J'avais quand-même mis dans mon sac de quoi exciter les mecs sur le lieu de drague : des bas résilles, une micro-jupe noire, un soutif rembourré et mon croptop noir (avec @taniagrenoble écrit en grand).Je suis arrivée à Gap vers midi et j'ai décidé d'aller manger au MacDo près d'un centre commercial avant d'aller me promener. J'étais contente car ma tenue légère n'a gêné personne. J'ai pu commander et manger tranquille avant de reprendre la route.J'avais vu qu'il y a une plage naturiste pas loin  (la plage des Pintrons) qui est aussi un des rares lieux de drague du coin. Je me suis garée sur le parking sous les…

Excitée par un membre de ce site au milieu de la nuit mais sans avoir pu consommer, je suis en chienne! Il est 5h, Le marché se monte en dessous de mes fenêtres, je ne vois plus les mecs qui m’avaient baiser il y a un moment. Je décide de tenter ma chance, d’aller faire un tour en provoquant bien comme il faut, je verrai bien ce que je trouve. Je descend, je remonte un peu le boulevard, je redescend et en face de mon entrée d’immeuble un camelot d’une trentaine d’année me matte, je m’arrête et fais mine de chercher un truc dans mon téléphone, il me regarde et étale des fringues sur son étale, je remonte ma jupe et de fait elle ne couvre que la moitié de mon gros cul. Je me tourne pour qu’il voit. Il regarde toujours. Je rentre dans mon immeuble en lui jetant un regard insistant et je tiens la porte entreouverte, je tente! 2 min plus tard, c’est long 2 min, j’ai le cœur qui bat super vite, ça m’excite mais en même temps ça me stress, donc 2 min plus tard une main pousse la porte, bingo…

J'ai eu du mal à l'époque à accepter le fait que je ressentais le besoin d'être une femelle, j'ai mis près de 10 ans à m'admettre que le ptit blanc qui était intimidé et baissait les yeux face aux rebeu était en fait une pute qui avait besoin de renaître. Sans les réseaux je me sentais seule et pensais que j'étais folle ou presque. Merci aux autres blanches de m'avoir fait réalisé que nous étions nombreuses, en partie grâce à vous j'ai pu accepter de suivre le fil de mon destin. Je n'aurais jamais cru possible de pouvoir être heureuse et d'assumer pleinement mon rôle, aujourd'hui je n'imagine pas ma vie autrement et j'ai l'intime conviction que je suis née pour ça. Surtout, je suis fière !  Merci!

Le retour de l’été fait toujours cet effet là sur moi : j’ai envie d’être baisée à l’extérieur en trav. Il y a une semaine, avant que les grosses chaleurs n’arrivent, c’est ma chatte qui avait les siennes, de chaleurs. Ceux qui lisent mes aventures savent que je fréquente une zone de cruising gay aux alentours de la pelouse de Reuilly dans le 12e entre Porte Dorée et Porte de Charenton. La Foire du Trône étant partie, nous voilà tranquilles. Mais comme en journée le jardin d’enfants du square de la croix rouge est vraiment trop fréquenté (par les familles), j’ai décidé de migrer de l’autre coté, dans un petit bois qui longe un grillage qui jouxte la pelouse de Reuilly. Il y a un foyer de travailleurs immigrés juste devant l’entrée du bois (mais ça je vous le raconterai une autre fois). J’ai donc donné rendez-vous à des mecs dont mon chouchou Kévin, un jeune renoi audacieux comme je les aime. Il apprécie particulièrement que je l’attende à 4 pattes, sans un mot. C’est ce que j…

<h4><strong>Un ami m'a demandé d'assurer le service d'une soirée donnait pour la fête de la musique</strong></h4><h4><strong>crossdresser tenue de PUTE</strong></h4><h4><strong>Il m'a presenté à ses invités ( ils étaient 5)</strong></h4><h4><strong>FANFAN ,elle sera notre boniche pour la soirée,en plus du service,elle mettra à notre disposition,ses deux oriffices,sa BOUCHE et son CUL,c'est une bonne SALOPE,docile,vous pouvez lui faire tout ce que vous voulez</strong></h4><h4><strong>Que les festivités commencent</strong></h4><h4><strong>Pendant que je m'affairais au service,des mains balladeuses,sur mes fesses,des doigts,entre,qui allaient à la recherche de mon petit trou,des claques sonores sur mes fesses,et moi au passage,je laissais une main dans leur entre jambe pour tater ce qui e cachaitet je me disais que la suite n…

Quand leur rythme ralentit, je me détache doucement, glissant avec grâce loin d’eux pour m’approcher des deux femmes qui s’étaient offertes un spectacle aussi enivrant que le mien.Leurs regards se croisent, lourds de promesses et chargés d’une invitation silencieuse, ce jeu de  séduction subtil et enivrant qui m’attire irrésistiblement vers elles. Je m’avance doucement, chaque pas guidé par cette énergie magnétique qui pulse entre nous, presque palpable. Mes doigts glissent avec une  délicatesse calculée sur leurs peaux soyeuses, explorant la courbe douce de leurs épaules, la rondeur sensuelle de leurs hanches, éveillant un  frisson partagé qui circule entre nous comme une onde invisible, un  secret délicieux.Nos lèvres se cherchent, hésitent, s’effleurent avec  une lenteur voluptueuse, puis s’entrouvrent dans une danse passionnée,  tremblante d’envie et de douceur mêlées. Nos mains s’entrelacent, se  promènent, s’ég…

Dans cette villa saturée de désir, j’étais la reine incontestée d’un royaume lubrique. Une déesse travestie en vinyle, offerte et cruelle, irrésistible et insatiable. La nuit n’était qu’un terrain de jeu, et j’en détenais les clés... Ce n’était que le commencement.Je me laisse aborder par deux hommes en même temps, leurs regards lourds de désir mêlé à un défi presque silencieux, comme s’ils tentaient de s’approprier chaque parcelle de mon corps sans jamais me briser. L’un, grand et athlétique, dégage une force tranquille ; l’autre, plus nerveux, trahit une impatience contenue, mais tous deux sont captivés par l’aura magnétique que je dégage. Non loin, leurs compagnes les observent avec une intensité presque possessive, un mélange complexe de curiosité, d’excitation et d’une jalousie voilée.  Leurs yeux suivent chacun de mes gestes, de mes frôlements, comme si elles jouaient elles-mêmes ce jeu interdit.Leurs mains glissent doucement sur le vinyle tendu de ma micro-robe, caressant l…

Ce jour-là, j'avais décidé de jouer avec les codes. Plutôt que de faire tourner les têtes dans l’une de mes habituelles micro-robes en vinyle aux coupes vertigineuses, j'avais choisi une illusion encore plus provocante : une tenue d'homme revisitée à ma façon. Une micro-robe blazer en vinyle noir ultra moulante, décolletée jusqu'au nombril, à manches longues mais fendue jusqu'aux hanches. En dessous, rien d'autre qu'un string en vinyle assorti, invisible à chaque pas. J'avais chaussé mes cuissardes à talons aiguilles de 12 cm, brillantes, parfaitement gainantes, montant jusqu'en haut des cuisses. Sous la robe, j'avais glissé ma paire de faux seins en silicone ultra réalistes, en bonnet E, qui bombaient fièrement sous le vinyle tendu, créant une illusion si parfaite qu'aucun regard n'aurait pu soupçonner quoi que ce soit. C'était une poitrine sculpturale, hypnotisante, outrageusement féminine — un chef-d'œuvre de trompe-l'œil au service de ma sensualité assumée.Mes lèvres étaient laquée…