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Quand leur rythme ralentit, je me détache doucement, glissant avec grâce loin d’eux pour m’approcher des deux femmes qui s’étaient offertes un spectacle aussi enivrant que le mien.Leurs regards se croisent, lourds de promesses et chargés d’une invitation silencieuse, ce jeu de  séduction subtil et enivrant qui m’attire irrésistiblement vers elles. Je m’avance doucement, chaque pas guidé par cette énergie magnétique qui pulse entre nous, presque palpable. Mes doigts glissent avec une  délicatesse calculée sur leurs peaux soyeuses, explorant la courbe douce de leurs épaules, la rondeur sensuelle de leurs hanches, éveillant un  frisson partagé qui circule entre nous comme une onde invisible, un  secret délicieux.Nos lèvres se cherchent, hésitent, s’effleurent avec  une lenteur voluptueuse, puis s’entrouvrent dans une danse passionnée,  tremblante d’envie et de douceur mêlées. Nos mains s’entrelacent, se  promènent, s’ég…

Dans cette villa saturée de désir, j’étais la reine incontestée d’un royaume lubrique. Une déesse travestie en vinyle, offerte et cruelle, irrésistible et insatiable. La nuit n’était qu’un terrain de jeu, et j’en détenais les clés... Ce n’était que le commencement.Je me laisse aborder par deux hommes en même temps, leurs regards lourds de désir mêlé à un défi presque silencieux, comme s’ils tentaient de s’approprier chaque parcelle de mon corps sans jamais me briser. L’un, grand et athlétique, dégage une force tranquille ; l’autre, plus nerveux, trahit une impatience contenue, mais tous deux sont captivés par l’aura magnétique que je dégage. Non loin, leurs compagnes les observent avec une intensité presque possessive, un mélange complexe de curiosité, d’excitation et d’une jalousie voilée.  Leurs yeux suivent chacun de mes gestes, de mes frôlements, comme si elles jouaient elles-mêmes ce jeu interdit.Leurs mains glissent doucement sur le vinyle tendu de ma micro-robe, caressant l…

Ce jour-là, j'avais décidé de jouer avec les codes. Plutôt que de faire tourner les têtes dans l’une de mes habituelles micro-robes en vinyle aux coupes vertigineuses, j'avais choisi une illusion encore plus provocante : une tenue d'homme revisitée à ma façon. Une micro-robe blazer en vinyle noir ultra moulante, décolletée jusqu'au nombril, à manches longues mais fendue jusqu'aux hanches. En dessous, rien d'autre qu'un string en vinyle assorti, invisible à chaque pas. J'avais chaussé mes cuissardes à talons aiguilles de 12 cm, brillantes, parfaitement gainantes, montant jusqu'en haut des cuisses. Sous la robe, j'avais glissé ma paire de faux seins en silicone ultra réalistes, en bonnet E, qui bombaient fièrement sous le vinyle tendu, créant une illusion si parfaite qu'aucun regard n'aurait pu soupçonner quoi que ce soit. C'était une poitrine sculpturale, hypnotisante, outrageusement féminine — un chef-d'œuvre de trompe-l'œil au service de ma sensualité assumée.Mes lèvres étaient laquée…

Bonjour à tous,Depuis quelque temps, une envie me trotte dans la tête... Un fantasme, rien d'extrêmement original peut-être, mais qui me fait vibrer chaque fois que je le laisse revenir à mon esprit. Un scénario simple, mais chargé d’une sensualité intense, d’un frisson d’attente et de désir pur.J'aimerais être invitée par un homme mûr — disons, de plus de 50 ans — à prendre un verre dans un bar à l'ambiance tamisée, cosy, propice à une rencontre tranquille et sensuelle. Un lieu élégant, feutré, presque confidentiel, où l’on peut se parler à voix basse, se regarder, se sourire, se frôler. Un endroit où chaque détail, chaque geste, chaque silence devient chargé de promesses.Pour l'occasion, je serais habillée de façon sexy, mais avec subtilité : une robe très courte en simili-cuir noir, moulante, soulignant mes courbes avec audace. Aux pieds, bien sûr, des cuissardes à talons aiguilles, brillantes, montant haut sur mes cuisses, parce que je suis une vraie adepte des bottes et cuissardes…

C'était nouveau pour moi de dominer les ébats. Je pris le temps de faire le tour de la pièces, j'examinai les équipements, Christophe me suivait de près m'expliquant pour chacun son utilité. il semblait particulièrement intéressé par la croix de saint andré. après avoir fait le tour de la pièce, il se mit nu et me tendis ses poignets.. je saisi le premier et me dirigeait vers la croix de saint andré. je lui attachait le poignet aux menotte, puis le second poignet, et de même aux cheville... rien que de faire ça il bandait généreusement.. je me reculais un peu et retirai ma veste... il bandait plus fort... je pris un fouet accroché au mur et commençait a caresser son torse il se mit a gémir et son sexe a trembler... je pris un baillon et lui plaçait dans la bouche... puis avec le fouet j'entrepris de le masturber... il jouis très vite... je lèchai mes doigts couvert de sperme devant lui... il avait l'air d'apprécier... je lui retirai le baillon et lui demddait si il avait déja gouté son…

Ce jour la, Suzanne était encore la quand j'arrivai chez Albert. Elle m'avait apporté un tailleur jupe en vinyle violet (comme d'habitde, il y avait deux jupe : une sage et une mini jupe). Evidemment, je l'essayai sur le champ. Comme d'habitude il m'allait parfaitement, Sur le lit dnas ma chambre je trouvai une boite longue et fine... un corset en vinyle, sublime... Je demandai a Albert en quel occasion était ce cadeau. Il me répondit que c'était pour aujourd'hui. que nous avions un rendez vous très particulier et que je devait passer le corset en guise de dessous avec le le string en vinyl qui se trouvait avec le corset. je devais passer le nouveau tailleur avec la mini jupe. Pour les chaussures j'avais le choix entre les cuissardes et les escarpins. je fis remarquer que des bottes sous le genoux seraient plus appropriées... albert sorti quelques instant. je l'entendis parler a quelqu'un, mais Suzanne était déja partie, il devait donc être au téléphone. pendant ce temps je me maquilla…

Merci encore pour vos votes et vos commentaires, Quelques jours plus tard (nous nous voyons tous les jours avec Albert pour baiser longuement et plusieurs fois par jours) en arivant chez Albert, Suzanne était la ce matin encore. elle m'apportait 3 mini-robes patineuse : 1 en simili cuir noir, 1 en vinyle rouge, et une en satin vert sapin. J'essayai les 3 et ma préférence allait clairement a celle en vinyle... Albert adorait aussi cette robe... Il me demanda de la passer avec les cuissardes... Suzanne valida l'ensemble, puis elle nous laissa. Albert me dit de me préparer pour sortir avec la robe et les cuissardes... Le temps étant maussade ce jour la, c'était tout à fait raisonnable... Je me maquillai, me parfumai, passai mes dessous en vinyle et mis ma perruque. Une fois prête, je rejoignais Albert qui m'attendais dans le salon... A son regard je su que j'était désirable et j'adorai ça... Il me fis monter galamment dans sa voiture et nous avons pris la route... Je ne savais pas ou nous…

Il nous fit entrer et passer dans la salon. Là 6 hommes sensiblement du même age que lui ( environ 50 ans) discutaient joyeusement. A notre entrée dand la pièces, ils se levèrent et tous me firent la bise. Ils m'offrirent de m'asseoir près d'eux. Je compris assez vite que je n'était pas la pour juste parler avec eux. Les deux hommes assis les lusprès de moi, commencaient déja a me caresser les cuisses, de plus en plus entreprenant, les autres caressaient la bosse de leur pantalon, Albert quant a lui n'était pas en reste... Je caressais moi aussi les bosses des deux males qui maintenant me déboutonnait ma veste... j'étais maintenant en soutien gorge et mini jupe. Cette dernière ne resta pas beaucoup plus longtemps sur moi, ma culotte ne résista pas plus longtemps... tout cela m'excitait beaucoup... je sorti tant bien que mal les sexes tendu de mes deux voisins de siège. et les masturbai lascivement, ce qui n'eu pas l'air de leur déplaire. Les autres males sortirent leur sexe aussi... je…

 Voici le récit de ma première sortie en femme en public avec Albert. c'était la semaine suivant ma rencontre avec Albert. Ce matin la, j'arrivai chez Albert de bonne heure comme toujours. en arrivant je trouvai Suzane chez lui. Elle m'apportait mes deux premiers ensembles. Un très joli tailleur jupe en satin violet, veste cintrée, boutons laqués ton sur ton avec la matière, et deux jupes, l'une conventionnelle juste au dessus du genoux, et l'autre beaucoup plus courte, cachant a peine mes fesses. l'autre ensemble était une robe dos nu avec un boléro en satin noir la robe eétait très courte elle aussi. Les deux ensemble m'allait parfaitement bien. J'essayait les deux tenues et les montrait a Albert, la première le mit dans un état d'excitation avanvée (j'avais mis la jupe la plus courte), la seconde lui fit un tel effet que je n'ai pas eu l'occasion de la retirer... le voyant mesauter dessus, Suzane pris congé de nous... Albert me pris sans me donner l'occasion de lui faire une fe…

Après un long calin, nous sommes passé a table il me demande de remettre la tenue en vinyle avant cela... J'en avais très envie donc je ne me fis pas prier. une fois celle ci passée, Je le rejoint dans la cuisine, une petite salade composée, beaucoup d'eau et quelques fruit composèrent notre déjeuner. Pour le café, nous sommes passés dans son salon. il me demanda de lui servir dans le canapé. je fis donc le trajet avec le café sur mes 12cm de talons aiguilles. je compris que c'était un test quand je vis a quel point la tasse était remplie. mais je fu fière de ne pas en mettre une goute dnas la soucoupe. Il me complimenta en me gratifiant d'une décliate caresses sur les fesses sous ma mini-jupe... il but son café tranquilement, alors que a tête était appuyée sur son épaule... soudain j'eu envie de le masturber, je caressais donc délicatement sa cuisse avec ma mains, l'effleurant a peine, pratiquant des mouvement très lent le long de sa cuisse la plus proche de moi. Mes mouvement remonta…